Mobilisés depuis le 17 octobre, 87 manutentionnaires et caristes de la plate-forme Geodis de Gennevilliers (92) revendiquent une hausse de salaire de 150 euros brut et une prime en décembre, rapporte notre confrère Le Monde. Le chargement et déchargement des camions s'y fait 24 H/24, et le nombre des grévistes représente 90% du personnel de manutention de cette plate-forme.
Ne se contentant plus de leur salaire minimum (1 329,05 euros net mensuel, 1 678,95 euros brut, ou une centaine d'euros de plus après parfois plus de quinze ans à ces postes), ils revendiquent 150 euros brut d'augmentation pour tous, 100 euros pour les plus bas salaires et une prime de 1 000 euros en décembre. Ils invoquent la pression et le rythme qu'on leur impose, avec à la clé des accidents du travail et des troubles musculosquelettiques, selon les syndicats de la société, qui évoquent les performances record communiquées en 2021 par cette filiale de la SNCF. - MF
Mobilisés depuis le 17 octobre, 87 manutentionnaires et caristes de la plate-forme Geodis de Gennevilliers (92) revendiquent une hausse de salaire de 150 euros brut et une prime en décembre, rapporte notre confrère Le Monde. Le chargement et déchargement des camions s'y fait 24 H/24, et le nombre des grévistes représente 90% du personnel de manutention de cette plate-forme.
Ne se contentant plus de leur salaire minimum (1 329,05 euros net mensuel, 1 678,95 euros brut, ou une centaine d'euros de plus après parfois plus de quinze ans à ces postes), ils revendiquent 150 euros brut d'augmentation pour tous, 100 euros pour les plus bas salaires et une prime de 1 000 euros en décembre. Ils invoquent la pression et le rythme qu'on leur impose, avec à la clé des accidents du travail et des troubles musculosquelettiques, selon les syndicats de la société, qui évoquent les performances record communiquées en 2021 par cette filiale de la SNCF. - MF