En réponse aux associations de proches de victimes, Élisabeth Borne a officialisé une nouvelle qualification pour certains accidents de la route mortels, désormais appelés « homicides routiers » et non plus « homicides involontaires », le mot involontaire étant considéré comme inacceptable. Ce changement sémantique est surtout symbolique, puisqu'il ne changera rien aux types de peines encourues, alors que les sanctions administratives pour conduite sous stupéfiants sont revues à la hausse.
Cette nouvelle qualification va par contre entraîner une modification du terme utilisé dans l'actuel article 221-6-1 du Code pénal qui précise : « L'homicide involontaire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende ». - MF
En réponse aux associations de proches de victimes, Élisabeth Borne a officialisé une nouvelle qualification pour certains accidents de la route mortels, désormais appelés « homicides routiers » et non plus « homicides involontaires », le mot involontaire étant considéré comme inacceptable. Ce changement sémantique est surtout symbolique, puisqu'il ne changera rien aux types de peines encourues, alors que les sanctions administratives pour conduite sous stupéfiants sont revues à la hausse.
Cette nouvelle qualification va par contre entraîner une modification du terme utilisé dans l'actuel article 221-6-1 du Code pénal qui précise : « L'homicide involontaire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende ». - MF