La plus grande collection française, réunie à Cormenon (Loir-et-Cher) par Jacques Passenaud, va être vendue aux enchères samedi 30 septembre. Elle regroupe 190 lots, 72 véhicules de légende et de nombreux moteurs d'exception et autres accessoires automobiles (pompes à huile, etc.).
Deux camions mythiques à titre d'exemple : le « nez de requin » Willem LD de 1958, popularisé par Jean Gabin dans le film Gasoil, ou le mythique camion Saurer Ade 1911, avec son volant à droite, ses roues à bandages et sa remorque, de même type que les camions qui ont traversé l'est américain.
Jacques Passenaud, passionné de camions décédé à 90 ans, en 2022, l'avait réunie dans une ancienne tannerie au bord d'une rivière. Ce chiffonier et ferrailleur d'origine auvergnate a consacré les trente ans de sa retraite à sauver et restaurer les plus beaux camions ayant roulé sur les routes françaises.
Il a cherché à en réunir autant qu'il pouvait, car il estimait avoir énormément cassé de poids lourds pendant sa vie professionnelle, selon son fils Denis Passenaud, interviewé par notre confrère La Nouvelle République. Comme il n'a laissé aucune directive pour le devenir de ce musée unique après sa mort, ses enfants n'ont pas eu d'autre choix que d'en vendre les trésors. - MF
La plus grande collection française, réunie à Cormenon (Loir-et-Cher) par Jacques Passenaud, va être vendue aux enchères samedi 30 septembre. Elle regroupe 190 lots, 72 véhicules de légende et de nombreux moteurs d'exception et autres accessoires automobiles (pompes à huile, etc.).
Deux camions mythiques à titre d'exemple : le « nez de requin » Willem LD de 1958, popularisé par Jean Gabin dans le film Gasoil, ou le mythique camion Saurer Ade 1911, avec son volant à droite, ses roues à bandages et sa remorque, de même type que les camions qui ont traversé l'est américain.
Jacques Passenaud, passionné de camions décédé à 90 ans, en 2022, l'avait réunie dans une ancienne tannerie au bord d'une rivière. Ce chiffonier et ferrailleur d'origine auvergnate a consacré les trente ans de sa retraite à sauver et restaurer les plus beaux camions ayant roulé sur les routes françaises.
Il a cherché à en réunir autant qu'il pouvait, car il estimait avoir énormément cassé de poids lourds pendant sa vie professionnelle, selon son fils Denis Passenaud, interviewé par notre confrère La Nouvelle République. Comme il n'a laissé aucune directive pour le devenir de ce musée unique après sa mort, ses enfants n'ont pas eu d'autre choix que d'en vendre les trésors. - MF
