Près de cinq ans après leur introduction sur nos routes, l'Hexagone compte environ 1 350 tourelles, dont 1 200 contrôlent la vitesse et 150 autres les feux rouges. On a déjà expliqué que ces radars ne sont pas homologués pour détecter d'autres infractions, contrairement aux bruits qui avaient couru (voir 60738).
Par contre, il faudra bientôt se méfier des futures mini-tourelles destinées aux agglomérations, qui elles ont la vocation d'être conçues comme des « Équipements de contrôle multi-infractions déplaçables en environnement urbain ». Elles pourraient selon notre confrère L'argus sanctionner (en plus de la vitesse et des feux rouges) l'usage du téléphone au volant, la ceinture non bouclée, le franchissement et le chevauchement d'une ligne blanche, le non-respect des passages piétons, le non-respect de la distance de dépassement d'un vélo, etc.
Pourtant, les choses commencent à changer par la force des choses, sans doute lié au fait que ce n'est apparemment plus l'Etat qui va financer le déploiement des radars urbains, mais les collectivités locales.
C'est l'Etat qui décidera de la liste des infractions supplémentaires. Il devra pour cela publier des arrêtés. Peu probable qu'une telle décision soit prise avant les Jeux olympiques... - MF
Près de cinq ans après leur introduction sur nos routes, l'Hexagone compte environ 1 350 tourelles, dont 1 200 contrôlent la vitesse et 150 autres les feux rouges. On a déjà expliqué que ces radars ne sont pas homologués pour détecter d'autres infractions, contrairement aux bruits qui avaient couru (voir
60738).
Par contre, il faudra bientôt se méfier des futures mini-tourelles destinées aux agglomérations, qui elles ont la vocation d'être conçues comme des « Équipements de contrôle multi-infractions déplaçables en environnement urbain ». Elles pourraient selon notre confrère L'argus sanctionner (en plus de la vitesse et des feux rouges) l'usage du téléphone au volant, la ceinture non bouclée, le franchissement et le chevauchement d'une ligne blanche, le non-respect des passages piétons, le non-respect de la distance de dépassement d'un vélo, etc.
Pourtant, les choses commencent à changer par la force des choses, sans doute lié au fait que ce n'est apparemment plus l'Etat qui va financer le déploiement des radars urbains, mais les collectivités locales.
C'est l'Etat qui décidera de la liste des infractions supplémentaires. Il devra pour cela publier des arrêtés. Peu probable qu'une telle décision soit prise avant les Jeux olympiques... - MF