L'un des plus spectaculaires impacts du mouvement des agriculteurs était évoqué par TF1 ce midi : le véritable blocus qu'ils imposent aux conducteurs routiers à Arnay-le-Duc depuis lundi retient ceux-ci prisonniers, alors qu'ils ont juste voulu contourner les blocages de l'A6 en empruntant la D906 (ex-N6). La municipalité fait ce qu'elle peut pour subvenir à leurs besoins quotidiens...
D'autres médias se sont emparés du sujet. France 2 a donné la parole à Barbero, transporteur de St-Laurent-du-Var (près de Nice), qui se demande s'il ne vaudrait pas mieux carrément laisser les camions sur site en cette fin de semaine plutôt que de perdre beaucoup d'argent tous des jours et d'imposer à ses conducteurs des dépassements de temps de conduite quotidiens.
Hier, les chaînes de télé ont recueilli les réactions de transporteurs comme Premat ou les Transports Bres (de Montélimar), qui ont donné l'alerte sur l'impossibilité d'assurer leurs missions dans ces conditions.
Europe 1 a fait un sujet hier sur la Fédération nationale du transport routier (FNTR) qui tire la sonnette d'alarme alors que près de 120 points de blocage ont été recensés hier mardi, avec 12 000 agriculteurs mobilisés et plus de 6 000 tracteurs au niveau national. Une situation qui perturbe le travail des transporteurs qui pourraient mettre genou à terre avec cette crise : leur chiffre d'affaires n'a pas été réalisé pendant ces deux dernières semaines, les temps de parcours se sont allongés, les heures de travail des conducteurs ont augmenté... Un transporteur, Jean-Luc Dejode, a fait ses comptes : la moitié de ses 30 camions ralentis, voire bloqués, représente une perte de 7 500 euros par jour.
Ce n'est certainement pas terminé : les interpellations des agriculteurs aux abords du Rungis ne vont pas suffire à calmer leurs ardeurs ! - AL et MF
L'un des plus spectaculaires impacts du mouvement des agriculteurs était évoqué par TF1 ce midi : le véritable blocus qu'ils imposent aux conducteurs routiers à Arnay-le-Duc depuis lundi retient ceux-ci prisonniers, alors qu'ils ont juste voulu contourner les blocages de l'A6 en empruntant la D906 (ex-N6). La municipalité fait ce qu'elle peut pour subvenir à leurs besoins quotidiens...
D'autres médias se sont emparés du sujet. France 2 a donné la parole à Barbero, transporteur de St-Laurent-du-Var (près de Nice), qui se demande s'il ne vaudrait pas mieux carrément laisser les camions sur site en cette fin de semaine plutôt que de perdre beaucoup d'argent tous des jours et d'imposer à ses conducteurs des dépassements de temps de conduite quotidiens.
Hier, les chaînes de télé ont recueilli les réactions de transporteurs comme Premat ou les Transports Bres (de Montélimar), qui ont donné l'alerte sur l'impossibilité d'assurer leurs missions dans ces conditions.
Europe 1 a fait un sujet hier sur la Fédération nationale du transport routier (FNTR) qui tire la sonnette d'alarme alors que près de 120 points de blocage ont été recensés hier mardi, avec 12 000 agriculteurs mobilisés et plus de 6 000 tracteurs au niveau national. Une situation qui perturbe le travail des transporteurs qui pourraient mettre genou à terre avec cette crise : leur chiffre d'affaires n'a pas été réalisé pendant ces deux dernières semaines, les temps de parcours se sont allongés, les heures de travail des conducteurs ont augmenté... Un transporteur, Jean-Luc Dejode, a fait ses comptes : la moitié de ses 30 camions ralentis, voire bloqués, représente une perte de 7 500 euros par jour.
Ce n'est certainement pas terminé : les interpellations des agriculteurs aux abords du Rungis ne vont pas suffire à calmer leurs ardeurs ! - AL et MF
Ce Centaure de la gendarmerie (fabriqué en Alsace par Soframe) part au devant des agriculteurs qui veulent monter sur Rungis
Lyon est toujours bloqué
A Arnay-le-Duc lundi.. Depuis, rien n'a changé.