Alors que depuis le 18 janvier 2024, le secteur agricole organise des manifestations et des blocages routiers sur l'ensemble du territoire métropolitain, l'OTRE rejoint la colère de la CFTC Transports, via un communiqué. Selon la fédé, les transporteurs routiers ne doivent pas être des victimes collatérales des revendications des agriculteurs, par ailleurs légitimes, et demandent des garanties pour permettre la libre circulation de leurs camions, la sécurité des personnes et des biens transportés, ainsi que des mesures de soutien compensatrices.
« Notre secteur est fortement affaibli par les crises successives qu'il subit depuis 2020, rappelle l'OTRE. L'année 2023 aura été marquée par une très forte hausse des charges d'exploitation, notamment du fait de l'inflation, combinée à une très forte baisse de l'activité. Le mouvement des agriculteurs fragilise un peu plus les entreprises du secteur, majoritairement des TPE et PME. Il y a donc maintenant urgence à agir. Le transport routier a été jusqu'à présent résiliant, mais l'inquiétude fait place aujourd'hui à une très grande colère et un grand désespoir ». - MF
Alors que depuis le 18 janvier 2024, le secteur agricole organise des manifestations et des blocages routiers sur l'ensemble du territoire métropolitain, l'OTRE rejoint la colère de la CFTC Transports, via un communiqué. Selon la fédé, les transporteurs routiers ne doivent pas être des victimes collatérales des revendications des agriculteurs, par ailleurs légitimes, et demandent des garanties pour permettre la libre circulation de leurs camions, la sécurité des personnes et des biens transportés, ainsi que des mesures de soutien compensatrices.
« Notre secteur est fortement affaibli par les crises successives qu'il subit depuis 2020, rappelle l'OTRE. L'année 2023 aura été marquée par une très forte hausse des charges d'exploitation, notamment du fait de l'inflation, combinée à une très forte baisse de l'activité. Le mouvement des agriculteurs fragilise un peu plus les entreprises du secteur, majoritairement des TPE et PME. Il y a donc maintenant urgence à agir. Le transport routier a été jusqu'à présent résiliant, mais l'inquiétude fait place aujourd'hui à une très grande colère et un grand désespoir ». - MF