En saluant la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre, l'OTRE et TLF appellent le nouveau gouvernement à répondre aux attentes de la filière : stabilité, prévisibilité et pragmatisme.
« Il est désormais temps de mettre fin à l'incertitude dans laquelle l'ensemble des professionnels du secteur sont plongés depuis plusieurs mois », affirme l'OTRE, en rappelant une fois de plus que le transport routier est une activité stratégique, indispensable aux territoires, à leur approvisionnement et à leur développement économique.
Bien consciente de la situation politique, budgétaire et sociale dans laquelle se trouve notre pays, l'OTRE ne demande pas davantage d'aides ou de subventions, mais plutôt de maintenir un cadre décent permettant aux transporteurs de maintenir leurs marges déjà très faibles.
TLF de son côté rappelle à François Bayrou que la filière du transport et de la logistique contribue à hauteur de 10 % du PIB. Elle est un pilier incontournable de la réindustrialisation, engagée dans la transition écologique de notre pays. « En matière de fiscalité, de coût du travail comme de contraintes réglementaires, il est urgent de renforcer la capacité de nos entreprises à investir et créer de l'emploi en France », martèle la fédération.
France Logistique veut quant à elle mettre en uvre le message de la feuille de route logistique et transport de marchandises 2025-2026 : mettre toute la filière au service des performances du pays. Pour cela, FL veut travailler à la mise en place de mesures qui auront un impact rapide : allègement de la pression fiscale et réglementaire, un cap clair et incitatif pour la transition écologique et le développement de l'offre multimodale sur des infrastructures de qualité, etc. - MF
En saluant la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre, l'OTRE et TLF appellent le nouveau gouvernement à répondre aux attentes de la filière : stabilité, prévisibilité et pragmatisme.
« Il est désormais temps de mettre fin à l'incertitude dans laquelle l'ensemble des professionnels du secteur sont plongés depuis plusieurs mois », affirme l'OTRE, en rappelant une fois de plus que le transport routier est une activité stratégique, indispensable aux territoires, à leur approvisionnement et à leur développement économique.
Bien consciente de la situation politique, budgétaire et sociale dans laquelle se trouve notre pays, l'OTRE ne demande pas davantage d'aides ou de subventions, mais plutôt de maintenir un cadre décent permettant aux transporteurs de maintenir leurs marges déjà très faibles.
TLF de son côté rappelle à François Bayrou que la filière du transport et de la logistique contribue à hauteur de 10 % du PIB. Elle est un pilier incontournable de la réindustrialisation, engagée dans la transition écologique de notre pays. « En matière de fiscalité, de coût du travail comme de contraintes réglementaires, il est urgent de renforcer la capacité de nos entreprises à investir et créer de l'emploi en France », martèle la fédération.
France Logistique veut quant à elle mettre en uvre le message de la feuille de route logistique et transport de marchandises 2025-2026 : mettre toute la filière au service des performances du pays. Pour cela, FL veut travailler à la mise en place de mesures qui auront un impact rapide : allègement de la pression fiscale et réglementaire, un cap clair et incitatif pour la transition écologique et le développement de l'offre multimodale sur des infrastructures de qualité, etc. - MF