Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été (voir 63285), TLF a participé à l'atelier n°2, portant sur un enjeu majeur pour l'avenir du secteur : la nécessité de réduire la fiscalité pesant sur le Transport Routier de Marchandises (TRM), condition essentielle au rétablissement de la compétitivité de la chaîne logistique française.
Cette conférence ambitionne donc de bâtir un modèle pérenne de financement des infrastructures de mobilité en France à horizon 2040, en prenant notamment en considération le terme des concessions autoroutières entre 2031 et 2036. Membre actif, l'Union TLF porte la voix des transporteurs routiers de marchandises, des commissionnaires et des logisticiens. Elle y défend la nécessité de :
1. Mieux répartir le financement des infrastructures pour alléger les charges pesant sur les transporteurs de marchandises, en considérant leurs enjeux de compétitivité et leur contribution déjà importante à la fiscalité routière.
2. Établir un cap clair, stable et réaliste pour la décarbonation et l'intermodalité des transports de marchandises.
La note (à consulter ici) présente les raisons pour lesquelles il est urgent d'alléger la fiscalité pesant sur le transport routier de marchandises. Dans ce contexte, l'Union TLF s'oppose fermement à toute nouvelle hausse de charge qui s'imposerait sur les transporteurs français.
TLF défend par ailleurs au sein de l'atelier 4 des propositions pour encourager la décarbonation et l'intermodalité du transport de marchandises et la décarbonation du transport routier. - MF
Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été (voir
63285), TLF a participé à l'atelier n°2, portant sur un enjeu majeur pour l'avenir du secteur : la nécessité de réduire la fiscalité pesant sur le Transport Routier de Marchandises (TRM), condition essentielle au rétablissement de la compétitivité de la chaîne logistique française.
Cette conférence ambitionne donc de bâtir un modèle pérenne de financement des infrastructures de mobilité en France à horizon 2040, en prenant notamment en considération le terme des concessions autoroutières entre 2031 et 2036. Membre actif, l'Union TLF porte la voix des transporteurs routiers de marchandises, des commissionnaires et des logisticiens. Elle y défend la nécessité de :
1. Mieux répartir le financement des infrastructures pour alléger les charges pesant sur les transporteurs de marchandises, en considérant leurs enjeux de compétitivité et leur contribution déjà importante à la fiscalité routière.
2. Établir un cap clair, stable et réaliste pour la décarbonation et l'intermodalité des transports de marchandises.
La note (
à consulter ici) présente les raisons pour lesquelles il est urgent d'alléger la fiscalité pesant sur le transport routier de marchandises. Dans ce contexte, l'Union TLF s'oppose fermement à toute nouvelle hausse de charge qui s'imposerait sur les transporteurs français.
TLF défend par ailleurs au sein de l'atelier 4 des propositions pour encourager la décarbonation et l'intermodalité du transport de marchandises et la décarbonation du transport routier. - MF