Mercredi 28 mai 2025, les députés ont majoritairement voté en faveur de la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Une « victoire », selon l'association 40 millions d'automobilistes, qui combat cette mesure depuis 2018. La veille du vote, elle a transmis aux députés les résultats de son sondage concluant que 66,5% des automobilistes directement impactés par les ZFE n'ont absolument pas les moyens de renouveler leur véhicule. Seuls 10% peuvent envisager cet achat sans accroc.
« En supprimant ce dispositif, l'Assemblée nationale reconnaît la nécessité d'une transition écologique plus juste et équitable, qui n'oppose pas écologie et inclusion sociale », estime Pierre Chasseray, le président de 40 millions d'automobilistes.
Pour les villes de Lyon et de Paris, où les ZFE sont déjà en place, le vote doit être confirmé dans le cadre du projet de loi de simplification. - MF
Mercredi 28 mai 2025, les députés ont majoritairement voté en faveur de la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Une « victoire », selon l'association 40 millions d'automobilistes, qui combat cette mesure depuis 2018. La veille du vote, elle a transmis aux députés les résultats de son sondage concluant que 66,5% des automobilistes directement impactés par les ZFE n'ont absolument pas les moyens de renouveler leur véhicule. Seuls 10% peuvent envisager cet achat sans accroc.
« En supprimant ce dispositif, l'Assemblée nationale reconnaît la nécessité d'une transition écologique plus juste et équitable, qui n'oppose pas écologie et inclusion sociale », estime Pierre Chasseray, le président de 40 millions d'automobilistes.
Pour les villes de Lyon et de Paris, où les ZFE sont déjà en place, le vote doit être confirmé dans le cadre du projet de loi de simplification. - MF