À la suite du Conseil des ministres des Transports de l'Union européenne, le ministre des Transports français, Philippe Tabarot, a réitéré l'opposition de la France à toute ouverture d'évolution de la réglementation européenne sur le 44-tonnes. Il semble craindre un effet défavorable sur l'équilibre rail-route.
Selon l'OTRE, cette position française est déconnectée des réalités du terrain, techniquement infondée et économiquement pénalisante. L'organisation patronale demande simplement l'autorisation de franchir une frontière entre deux pays limitrophes, tous deux autorisant les 44-tonnes sur leur territoire. Ce qui selon elle serait une mesure à la fois rationnelle (moins de camions) et bénéfique sur le plan environnemental (moins de CO2). Quel intérêt y a-t-il en effet à pénaliser les entreprises françaises, sans bénéfice écologique... ? - MF
À la suite du Conseil des ministres des Transports de l'Union européenne, le ministre des Transports français, Philippe Tabarot, a réitéré l'opposition de la France à toute ouverture d'évolution de la réglementation européenne sur le 44-tonnes. Il semble craindre un effet défavorable sur l'équilibre rail-route.
Selon l'OTRE, cette position française est déconnectée des réalités du terrain, techniquement infondée et économiquement pénalisante. L'organisation patronale demande simplement l'autorisation de franchir une frontière entre deux pays limitrophes, tous deux autorisant les 44-tonnes sur leur territoire. Ce qui selon elle serait une mesure à la fois rationnelle (moins de camions) et bénéfique sur le plan environnemental (moins de CO2). Quel intérêt y a-t-il en effet à pénaliser les entreprises françaises, sans bénéfice écologique... ? - MF