Une info France 3 Franche-Comté montre le culot que peuvent avoir des voleurs. Vers 1h du matin, dans la nuit de lundi à mardi, deux individus se sont introduits dans le parc des Transports Barbier à Noidans-lès-Vesoul (Haute-Saône) au volant d'un tracteur Iveco rouge et noir. Visiblement bien renseignés, ils se sont emparés successivement (à 20 minutes d'intervalle) de deux semi-remorques et de leur précieux chargement, dont le patron préfère ne pas révéler la nature.
Toute la scène a été saisie par les caméras de vidéosurveillance de la société qui publie plusieurs captures d'écran ce mardi sur son compte Facebook. Le dirigeant lance également un appel à témoins et communique les numéros de plaques d'immatriculation des remorques dérobées. Au cas où. En attendant, une enquête de police est ouverte qui dira si oui ou non ils avaient un complice en interne.
Le patron, Julien Thévenot, à la tête de 110 salariés, ne se fait pas d'illusion : « Pour moi, ils ont déjà passé la frontière. Vous roulez dans la nuit et cinq heures après, vous êtes passés en Allemagne ou en Belgique. La marchandise va être écoulée très vite. Peut-être qu'on retrouvera les remorques à l'étranger, avec les plaques... ». - MF
Une info France 3 Franche-Comté montre le culot que peuvent avoir des voleurs. Vers 1h du matin, dans la nuit de lundi à mardi, deux individus se sont introduits dans le parc des Transports Barbier à Noidans-lès-Vesoul (Haute-Saône) au volant d'un tracteur Iveco rouge et noir. Visiblement bien renseignés, ils se sont emparés successivement (à 20 minutes d'intervalle) de deux semi-remorques et de leur précieux chargement, dont le patron préfère ne pas révéler la nature.
Toute la scène a été saisie par les caméras de vidéosurveillance de la société qui publie plusieurs captures d'écran ce mardi sur son compte Facebook. Le dirigeant lance également un appel à témoins et communique les numéros de plaques d'immatriculation des remorques dérobées. Au cas où. En attendant, une enquête de police est ouverte qui dira si oui ou non ils avaient un complice en interne.
Le patron, Julien Thévenot, à la tête de 110 salariés, ne se fait pas d'illusion : « Pour moi, ils ont déjà passé la frontière. Vous roulez dans la nuit et cinq heures après, vous êtes passés en Allemagne ou en Belgique. La marchandise va être écoulée très vite. Peut-être qu'on retrouvera les remorques à l'étranger, avec les plaques... ». - MF