Selon le site bladi.net, un site d'info marocain, les camionneurs espagnols se plaignent de la concurrence marocaine. Leurs arguments : les routiers marocains rouleraient au-dessus de la vitesse maximale exigée et ne maîtriseraient pas le Code de la route en Espagne. Par ailleurs, ils ne respecteraient pas les périodes de repos et apporteraient des modifications aux disques du tachygraphe, un dispositif qui n'est par ailleurs pas obligatoire au Maroc...
Les routiers espagnols dénoncent aussi l'inaction de la Direction générale du Transport (DGT) et la Guardia Civil face à ces manquements des camionneurs marocains. Ils expliquent que lorsque ces camionneurs sont arrêtés, ils n'ont pas les moyens de payer les amendes qui leur sont infligées, ce qui amène les gardes civils à les laisser partir.
À ce jour, près de 20 000 routiers marocains travaillent en Espagne. Quelque 80 000 autres bénéficient d'autorisations temporaires de circulation dans la péninsule ibérique. - MF
Selon le site bladi.net, un site d'info marocain, les camionneurs espagnols se plaignent de la concurrence marocaine. Leurs arguments : les routiers marocains rouleraient au-dessus de la vitesse maximale exigée et ne maîtriseraient pas le Code de la route en Espagne. Par ailleurs, ils ne respecteraient pas les périodes de repos et apporteraient des modifications aux disques du tachygraphe, un dispositif qui n'est par ailleurs pas obligatoire au Maroc...
Les routiers espagnols dénoncent aussi l'inaction de la Direction générale du Transport (DGT) et la Guardia Civil face à ces manquements des camionneurs marocains. Ils expliquent que lorsque ces camionneurs sont arrêtés, ils n'ont pas les moyens de payer les amendes qui leur sont infligées, ce qui amène les gardes civils à les laisser partir.
À ce jour, près de 20 000 routiers marocains travaillent en Espagne. Quelque 80 000 autres bénéficient d'autorisations temporaires de circulation dans la péninsule ibérique. - MF