|
|
|
|
|
Articles en accès libre |
| 1. Choisissez un n° |
| 2. Puis un article |
|
|
Le routier Marc Fiévet se bat toujours contre les Douanes françaises
À 82 ans, Marc Fiévet conduit encore des poids lourds pour survivre, car il ne touche aucune retraite et a tout perdu quand il a été lâché par la Douane française en 1994. Cela faisait alors six ans qu'il avait accepté, à leur demande, d'infiltrer des cartels internationaux de la drogue, ce qui a donné lieu à de nombreuses prises et arrestations.
Aujourd'hui, alors que vient d'être rediffusé le film Gibraltar (avec Gilles Lellouche) inspiré par son histoire, il rappelle un fait essentiel qui n'est évoqué que légèrement dans le film : après son arrestation en Espagne lors d'une de ses infiltrations, la Douane française lui a demandé de plaider coupable pour ne pas perturber les procès en Angletere et au Canada en lui certifiant qu'une fois son retour en France, elles arrangeraient sa situation et le feraient libérer. La Douane Française ne respectera pas sa parole et le laissera moisir 3888 jours en prison. Soit plus de dix ans, enfermé comme un trafiquant, alors qu'il n'était qu'un agent infiltré de l'État.
Depuis qu'il est sorti de prison, Marc a tout perdu et passe des semaines entières, week-ends compris, dans un camion frigorifique en faisant essentiellement du France-Italie. Cela fait donc dix-huit ans qu'il a repris le manche, après une période en tant que veilleur de nuit... Pour lui, cette situation est inacceptable.
Aujourd'hui, son dossier est toujours classé Secret défense et bien que soutenu par d'anciens douaniers, les ex-patrons de la DNRED (Jean Henri Hoguet et Jean Puons) et son officier traitant Christian Gatard, Marc Fiévet n'a rien pu obtenir face à la toute puissante Direction générale de la Douane... « Il est temps de réparer cette injustice monstrueuse », clame Vincent Thomazo, secrétaire général de l'AIDF (Association internationale des douaniers francophones).
Vous êtes invités à partager son histoire et à faire du bruit pour que Marc Fiévet sorte de ce cauchemar et que son honneur soit lavé par une reconnaissance de son rôle dans la lutte contre le trafic de drogue. Cliquez ici et allez en bas du texte pour partager son histoire.
À 82 ans, Marc Fiévet conduit encore des poids lourds pour survivre, car il ne touche aucune retraite et a tout perdu quand il a été lâché par la Douane française en 1994. Cela faisait alors six ans qu'il avait accepté, à leur demande, d'infiltrer des cartels internationaux de la drogue, ce qui a donné lieu à de nombreuses prises et arrestations.
Aujourd'hui, alors que vient d'être rediffusé le film Gibraltar (avec Gilles Lellouche) inspiré par son histoire, il rappelle un fait essentiel qui n'est évoqué que légèrement dans le film : après son arrestation en Espagne lors d'une de ses infiltrations, la Douane française lui a demandé de plaider coupable pour ne pas perturber les procès en Angletere et au Canada en lui certifiant qu'une fois son retour en France, elles arrangeraient sa situation et le feraient libérer. La Douane Française ne respectera pas sa parole et le laissera moisir 3888 jours en prison. Soit plus de dix ans, enfermé comme un trafiquant, alors qu'il n'était qu'un agent infiltré de l'État.
Depuis qu'il est sorti de prison, Marc a tout perdu et passe des semaines entières, week-ends compris, dans un camion frigorifique en faisant essentiellement du France-Italie. Cela fait donc dix-huit ans qu'il a repris le manche, après une période en tant que veilleur de nuit... Pour lui, cette situation est inacceptable.
Aujourd'hui, son dossier est toujours classé Secret défense et bien que soutenu par d'anciens douaniers, les ex-patrons de la DNRED (Jean Henri Hoguet et Jean Puons) et son officier traitant Christian Gatard, Marc Fiévet n'a rien pu obtenir face à la toute puissante Direction générale de la Douane... « Il est temps de réparer cette injustice monstrueuse », clame Vincent Thomazo, secrétaire général de l'AIDF (Association internationale des douaniers francophones).
Vous êtes invités à partager son histoire et à faire du bruit pour que Marc Fiévet sorte de ce cauchemar et que son honneur soit lavé par une reconnaissance de son rôle dans la lutte contre le trafic de drogue. Cliquez ici et allez en bas du texte pour partager son histoire.
En février 2014, le mag Les Routiers avait interviewé Marc Fiévet alors qu'il était de passage en camion dans la région parisienne.
Récemment avec Vincent Thomazo, secrétaire général de l'Association internationale des douaniers francophones.
|
|
|
|
|
| Articles en accès libre |
|
|
| 1. Sélectionnez un numéro |
| 2. Choisissez un article en accès libre |
|
|
|
|
