Le cercle des revendications s'agrandit. La semaine dernière, cinq sites du constructeur Renault Trucks ont été touchés par une série d'arrêts de travail, à Saint-Priest et Vénissieux, à Bourg-en-Bresse, à Blainville (Calvados) et à Limoges. Les salariés réclament des hausses de salaires refusées par la direction, qui propose une nouvelle prime (500 euros) et un non-appel à cotisation mutuelle pour novembre et décembre de la part obligatoire. Elle met en avant des augmentations déjà octroyées, explique l'AFP. Renault Trucks emploie 8000 personnes en France selon la direction, dont 4300 emplois industriels et 1400 en recherche-développement. A suivre...
Le cercle des revendications s'agrandit. La semaine dernière, cinq sites du constructeur Renault Trucks ont été touchés par une série d'arrêts de travail, à Saint-Priest et Vénissieux, à Bourg-en-Bresse, à Blainville (Calvados) et à Limoges. Les salariés réclament des hausses de salaires refusées par la direction, qui propose une nouvelle prime (500 euros) et un non-appel à cotisation mutuelle pour novembre et décembre de la part obligatoire. Elle met en avant des augmentations déjà octroyées, explique l'AFP. Renault Trucks emploie 8000 personnes en France selon la direction, dont 4300 emplois industriels et 1400 en recherche-développement. A suivre...