En Russie, rien ne va plus. 5 500 salariés du constructeur de camions Kamaz ont été mis au chômage partiel en raison d'une pénurie de composants découlant des sanctions occidentales contre Moscou pour son offensive en Ukraine. Selon notre confrère Le Figaro, ils ne travaillent plus que trois jours par semaine, avec une réduction de salaire en conséquence. De nombreux autres secteurs de l'économie russe sont menacés de chômage, à mesure que se fait sentir l'impact des sanctions.
Renault notamment, leader dans le pays avec la marque Lada (groupe Avtovaz) qu'il avait réussi à redresser, a dû vendre en mai ses actifs à l'Etat russe et une grande partie de ses près de 40 000 salariés sont aussi au chômage partiel (payés deux tiers de leurs salaires) depuis début avril et au moins jusqu'au 6 juin. - MF
En Russie, rien ne va plus. 5 500 salariés du constructeur de camions Kamaz ont été mis au chômage partiel en raison d'une pénurie de composants découlant des sanctions occidentales contre Moscou pour son offensive en Ukraine. Selon notre confrère Le Figaro, ils ne travaillent plus que trois jours par semaine, avec une réduction de salaire en conséquence. De nombreux autres secteurs de l'économie russe sont menacés de chômage, à mesure que se fait sentir l'impact des sanctions.
Renault notamment, leader dans le pays avec la marque Lada (groupe Avtovaz) qu'il avait réussi à redresser, a dû vendre en mai ses actifs à l'Etat russe et une grande partie de ses près de 40 000 salariés sont aussi au chômage partiel (payés deux tiers de leurs salaires) depuis début avril et au moins jusqu'au 6 juin. - MF