La forte reprise du TRM européen observée après la période covid semble bel et bien prendre fin, que ce soit en national ou international. C'est ce que constate le CNR (Comité national routier) dans sa dernière étude. Entre 2022 et 2023, le marché a perdu 3,2%. La régression touche toutes les activités et pratiquement tous les pavillons.
L'activité internationale occupe désormais près de 38% du total, part relativement stable depuis 10 ans. L'activité entre pays tiers et le cabotage tirent l'international vers le haut, tandis que le national perd des parts, signe d'une européanisation croissante des transports routiers de marchandises. - MF
La forte reprise du TRM européen observée après la période covid semble bel et bien prendre fin, que ce soit en national ou international. C'est ce que constate le CNR (Comité national routier) dans sa dernière étude. Entre 2022 et 2023, le marché a perdu 3,2%. La régression touche toutes les activités et pratiquement tous les pavillons.
L'activité internationale occupe désormais près de 38% du total, part relativement stable depuis 10 ans. L'activité entre pays tiers et le cabotage tirent l'international vers le haut, tandis que le national perd des parts, signe d'une européanisation croissante des transports routiers de marchandises. - MF