La vingtaine de salariés de Trans-Cévennes Express à Saint-Martin-de-Valgalgues ont appris dimanche soir la liquidation judiciaire de leur entreprise par WhatsApp. Ceci à peine un mois après avoir été rachetée, percluse de dettes, pour un euro symbolique. Le repreneur-liquidateur s'est contenté d'inviter ses anciens salariés à transmettre le message à ceux qui n'avaient pas WhatsApp, ce qui en dit long sur sa mentalité !
Les signes étaient clairs : plus de gazole pour aller livrer, certains conducteurs n'étaient plus payé depuis deux mois, un parc de camions dans un état lamentable... Les « toujours salariés » de Trans-Cévennes Express ont placé les locaux sous surveillance, en attendant de leur ex-patron (propriétaire d'une entreprise de location de véhicules à Caen) tous les papiers afférant à la liquidation, essentiels pour avoir accès à leurs droits et être officiellement licenciés. Ils ont saisi un avocat. - MF
La vingtaine de salariés de Trans-Cévennes Express à Saint-Martin-de-Valgalgues ont appris dimanche soir la liquidation judiciaire de leur entreprise par WhatsApp. Ceci à peine un mois après avoir été rachetée, percluse de dettes, pour un euro symbolique. Le repreneur-liquidateur s'est contenté d'inviter ses anciens salariés à transmettre le message à ceux qui n'avaient pas WhatsApp, ce qui en dit long sur sa mentalité !
Les signes étaient clairs : plus de gazole pour aller livrer, certains conducteurs n'étaient plus payé depuis deux mois, un parc de camions dans un état lamentable... Les « toujours salariés » de Trans-Cévennes Express ont placé les locaux sous surveillance, en attendant de leur ex-patron (propriétaire d'une entreprise de location de véhicules à Caen) tous les papiers afférant à la liquidation, essentiels pour avoir accès à leurs droits et être officiellement licenciés. Ils ont saisi un avocat. - MF