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NAO : sans accord rapide, les 138M vont gagner 0,12 euro de l'heure de plus que le Smic
C'est demain mardi que se tiendra la dernière séance de NAO (négociations salariales obligatoires), seul espoir pour les conducteurs routiers de voir leur salaire enfin réévalué depuis le 1er décembre... 2023 ! Plus de deux ans donc qu'un 138M gagne ...
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C'est demain mardi que se tiendra la dernière séance de NAO (négociations salariales obligatoires), seul espoir pour les conducteurs routiers de voir leur salaire enfin réévalué depuis le 1er décembre... 2023 ! Plus de deux ans donc qu'un 138M gagne 12,14 euros brut de l'heure à l'embauche, et un 150M 12,43 euros.
Il y a urgence : le gouvernement va revaloriser le Smic de 1,18% au 1er janvier, 2026 sans lui donner de coup de pouce au-delà de son augmentation mécanique, a-t-on appris vendredi de sources syndicales. Il sera donc de 12,02 euros brut (au lieu de 11,88), et de 1 823,03 euros brut par mois (au lieu de 1 801,80).
Si rien ne se passe côté NAO dans le TRM, pas besoin d'être doué en maths pour calculer qu'un 138M ne gagnera que 0,12 euro de plus qu'un smicard à l'heure, et 18,24 euros de plus au mois s'il fait 152 heures ! Un 150M gagnera lui 62,23 euros de plus au mois (toujours pour 152 heures). Ça donne à réfléchir, étant donné l'immense responsabilité qui incombe à un conducteur routier. - MF
(photo illustration - ©Fréor)
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(photo illustration - ©Fréor)
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Mercedes prend de l'avance avec la détection des obstacles et de la fatigue
Pour détecter les situations critiques à un stade précoce, Mercedes va élargir dès février 2026 ses systèmes d'aide à la conduite avec de nouvelles fonctions. Le constructeur anticipe pour cela de futures réglementations.
Pour commencer, le ...
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Pour détecter les situations critiques à un stade précoce, Mercedes va élargir dès février 2026 ses systèmes d'aide à la conduite avec de nouvelles fonctions. Le constructeur anticipe pour cela de futures réglementations.
Pour commencer, le système de freinage d'urgence Active Brake Assist 6 sera remplacé par la version 6 Plus, conforme à la réglementation européenne AEBS (Advanced Emergency Braking System) qui entrera en vigueur en septembre 2028. Il réagit encore plus rapidement aux situations critiques, prévenant les accidents pour les véhicules roulant jusqu'à 90 km/h ainsi que pour les piétons et les cyclistes se déplaçant jusqu'à 60 km/h.
Ensuite, l'assistant d'attention (Attention Assist) en est à sa deuxième génération, émettant des avertissements visuels et sonores si le conducteur est inattentif ou trop fatigué. À l'aide d'une caméra infrarouge intégrée pour la reconnaissance visuelle de la position de la tête et des pupilles, il détecte non seulement le niveau de fatigue à partir de signes tels que le clignement accru des yeux, les bâillements ou les paupières tombantes, mais aussi l'attention du conducteur en fonction de l'angle de vue calculé. Il s'agit d'un système fermé : toutes les données restent exclusivement dans le véhicule et sont supprimées par le système après 15 minutes. - MF
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Un partenariat entre Man France et EDF vise à réduire le coût d'exploitation des PL électriques
Un accord entre Man et EDF signé à Solutrans va se traduire par une nouvelle offre baptisée Man Charging 360, qui facilitera notamment le recours des clients Man aux Certificats d'Économie d'Energie (CEE). Selon des conditions prédéfinies, une prime ...
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Un accord entre Man et EDF signé à Solutrans va se traduire par une nouvelle offre baptisée Man Charging 360, qui facilitera notamment le recours des clients Man aux Certificats d'Économie d'Energie (CEE). Selon des conditions prédéfinies, une prime CEE financée par EDF peut atteindre aujourd'hui jusqu'à 25% du prix HT d'un véhicule.
Elle vise avant tout la convergence des coûts d'exploitation entre les camions électriques Man et leurs équivalents thermiques. Pour ce faire, l'offre Man Charging 360 repose aussi sur les performances des camions électriques Man, couplées aux mécanismes d'aides à l'acquisition de véhicules. Les performances des camions électriques Man et les différents mécanismes d'aides permettent d'aboutir à un coût de revient de 0,41 euro/km.
Eligibles au dispositif de suramortissement dans le cadre du PLF 2025, ceux-ci ne sont plus soumis au plafonnement des aides de minimis (une aide encadrée par le Règlement général d'exemption par catégories). Le mode de calcul du suramortissement des véhicules électriques est basé sur l'écart de prix avec un véhicule thermique équivalent. Ainsi, le pourcentage de déduction s'élève à 75% du surcoût pour un véhicule de plus de 16 t.
Par ailleurs, le partenariat avec EDF va offrir aux clients Man des conditions préférentielles sur les bornes de recharge Izivia et l'achat de l'électricité. Le pilotage dynamique de Dreev permet notamment de décaler automatiquement la recharge vers les moments les plus favorables du marché, en temps réel. Ces mesures peuvent faire baisser le coût d'énergie entre 30 à 50%, sans modifier les habitudes d'exploitation.
En tenant compte d'une consommation moyenne de 0,93 kWh/km, et d'environ 5% de pertes électriques (raccordement + véhicule), cette offre peut ramener le prix au kilomètre à seulement 0,17 euro/km (hors véhicule). Soit un coût d'énergie très largement inférieur aux carburants fossiles. - MF
De g. à d. : Jean-Philippe Laurent, directeur stratégie et développement d’EDF, et Jean-Yves Kerbrat, DG Man France.
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De g. à d. : Jean-Philippe Laurent, directeur stratégie et développement d’EDF, et Jean-Yves Kerbrat, DG Man France.
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Trafic de cocaïne : le routier russe a pris cinq ans de prison
Suite à son interception à Calais avec près de 250 kg de cocaïne dans sa cargaison (voir 64187), le routier russe de 40 ans a été condamné dans la foulée à cinq ans de prison. Ce...
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Suite à son interception à Calais avec près de 250 kg de cocaïne dans sa cargaison (voir 64187), le routier russe de 40 ans a été condamné dans la foulée à cinq ans de prison. Cette condamnation est assortie d'une interdiction du territoire français pour la même durée et d'une amende douanière de plus de huit millions d'euros, soit la valeur estimée de la drogue à la revente.
Entre 2010 et 2023, les quantités de cocaïne consommée en France ont triplé. Cette drogue est devenue en 2023 le premier marché de drogues illicites en valeur en France métropolitaine, devant le cannabis, selon une étude relayée lundi par l'Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT).
Et cette tendance semble encore s'accélérer : plus de 70 t de cocaïne ont été saisies par les autorités françaises, Marine nationale comprise, entre janvier et septembre 2025, dépassant déjà le record de 2024 (54 t saisies), selon l'Office antistupéfiants (Ofast), cité par l'AFP et repris par BFM.
Si la cocaïne emprunte de plus en plus la voie routière, notamment depuis l'Espagne, les ports restent l'accès privilégié de cette drogue en France. En mars, près de 10 t de cocaïne ont été saisies dans un conteneur arrivé au port de Dunkerque (Nord), un record en France métropolitaine. - MF
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Scania France rachète Dian, son distributeur nantais
Le 1er janvier 2026, la Dian (Distribution industrielle automobile nantaise) deviendra une filiale à part entière de Scania, qui compte lui assurer une gouvernance stable et pérenne, avec des perspectives de développement. Ce distributeur privé indép...
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Le 1er janvier 2026, la Dian (Distribution industrielle automobile nantaise) deviendra une filiale à part entière de Scania, qui compte lui assurer une gouvernance stable et pérenne, avec des perspectives de développement. Ce distributeur privé indépendant de la marque Scania depuis 57 ans est le plus important par la taille de sa zone de chalandise.
Il regroupe 9 points de ventes ou services : Dian Nantes (44), Dian Angers (49), Dian Auray (56), Dian Châtellerault (86), Dian Cholet (49), Dian Vannes (56), Dian La-Roche-sur-Yon (85), les Établissements Lasseux (49) et Dian Niort (79). C'est Clément Raimbault qui prendra la tête de l'entreprise.
Membre central du groupe familial BLV Trucks, la Dian et ses 150 collaborateurs font, outre la distribution et la réparation de VI, de la location de camions Scania dans les départements des Deux-Sèvres, de la Loire-Atlantique, du Maine-et-Loire, du Morbihan, de la Vendée et de la Vienne. - MF
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EDF accompagne les adhérents de la FNTR dans leur transition énergétique
La Fédération nationale des transports routiers a signé un partenariat avec EDF, qui s'engage à accompagner les adhérents de la FNTR dans l'étude et la mise en œuvre de projets de décarbonation, qu'il s'agisse d'électrification, de production lo...
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La Fédération nationale des transports routiers a signé un partenariat avec EDF, qui s'engage à accompagner les adhérents de la FNTR dans l'étude et la mise en œuvre de projets de décarbonation, qu'il s'agisse d'électrification, de production locale d'énergie, de gestion de la recharge ou d'efficacité énergétique des bâtiments. La FNTR prévoit en contrepartie de diffuser les bonnes pratiques et les solutions d'efficacité énergétique au sein de la profession, de valoriser les retours d'expérience et d'accélérer les changements sur le terrain. - MF
Florence Berthelot, déléguée générale de la FNTR et Frédéric Sarrazin, d'EDF Auvergne-Rhône-Alpes
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Florence Berthelot, déléguée générale de la FNTR et Frédéric Sarrazin, d'EDF Auvergne-Rhône-Alpes
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Trois Mercedes eActros 600 chez Transports Vallée
Pour charger à domicile ses trois eActros 600 en cours de livraison, le groupe Vallée (27) a aussi investi dans une station de recharge sur le site de son siège social, avec la coopération de AutoRecharge. L'une des quatre bornes ont une capacité de ...
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Pour charger à domicile ses trois eActros 600 en cours de livraison, le groupe Vallée (27) a aussi investi dans une station de recharge sur le site de son siège social, avec la coopération de AutoRecharge. L'une des quatre bornes ont une capacité de 240 kW, et l'une est un mégachargeur de 400 kW.
Pour l'entreprise normande, qui dispose d'un parc de 650 moteurs, ce premier camion électrique montre à ses 850 salariés que le groupe innove et va de l'avant. Par ailleurs, Vallée exploite une flotte très récente de 62 exemplaires d'Actros 1848 dotés de la nouvelle ProCabin aérodynamique (identique à celle des eActros électriques) et d'une boite de vitesse PowerShift G291. Avec à la clé une baisse de 3 l au cent en moyenne. - MF
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500 kg de cannabis saisis parmi 16 t d'oranges, remises à la Croix-Rouge
La douane du Jura a saisi près de 500 kg d'herbe de cannabis dans un poids lourd qui circulait sur l'A39 dans le sens sud-nord. Les stupéfiants étaient cachés sous 20 palettes d'oranges qui ont été offertes à la Croix-Rouge pour améliorer l'ordinaire...
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La douane du Jura a saisi près de 500 kg d'herbe de cannabis dans un poids lourd qui circulait sur l'A39 dans le sens sud-nord. Les stupéfiants étaient cachés sous 20 palettes d'oranges qui ont été offertes à la Croix-Rouge pour améliorer l'ordinaire de ses bénéficiaires. Dès l'examen des documents de transport, des incohérences suspectes sont apparues, ce qui a incité les douaniers de Lons à décharger patiemment les 16 t d'agrumes.
Le conducteur, dont la nationalité n'est pas précisée, est passé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel et a demandé à préparer sa défense, comme le droit l'autorise à le faire. L'affaire a été renvoyée au 29 janvier, précise notre confrère Le Progrès. En attendant son jugement, il a été placé en détention provisoire et passera donc Noël en prison, sans oranges ! - MF
(photo Douanes de Lons)
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(photo Douanes de Lons)
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L'eActros 400 rentre en production dans l'usine de Wörth
Après l'eActros 600, qui est produit en série dans l'usine Mercedes de Wörth depuis fin 2024, la deuxième génération de l'eActros 400 y est produite depuis début décembre, toujours aux côtés des modèles diesel. La chaîne cinématique électrique y est ...
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Après l'eActros 600, qui est produit en série dans l'usine Mercedes de Wörth depuis fin 2024, la deuxième génération de l'eActros 400 y est produite depuis début décembre, toujours aux côtés des modèles diesel. La chaîne cinématique électrique y est intégrée sur la chaîne, et non plus séparément comme sur les premières générations. Elle comprend l'essieu électrique, les composants de transmission et le boîtier avant, qui proviennent des usines Daimler Truck de Mannheim, Kassel et Gaggenau.
Les deux camions électriques sont déclinés en diverses versions, longue distance et distribution, avec trois packs de batteries LFP (eActros 600 - 500 km d'autonomie) ou deux packs (eActros 400 - 480 km d'autonomie), chacun étant disponible en version tracteur routier ou porteur, avec deux variantes de cabines. - MF
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Attention, fermeture totale du tunnel du Fréjus du samedi 13 décembre 22h au dimanche 14 décembre 6h
Depuis l'ouverture du second tube du tunnel du Fréjus, les opérations de maintenance et d'entretien peuvent désormais être réalisées sans recours à un alternat de circulation, sauf cas exceptionnel. C'est le cas du samedi 13 décembre 22h au dimanche ...
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Depuis l'ouverture du second tube du tunnel du Fréjus, les opérations de maintenance et d'entretien peuvent désormais être réalisées sans recours à un alternat de circulation, sauf cas exceptionnel. C'est le cas du samedi 13 décembre 22h au dimanche 14 décembre 6h, où le tunnel du Fréjus sera totalement fermé à la circulation dans les deux sens de circulation. Cette fermeture est conditionnée par la réouverture du tunnel du Mont-Blanc le 12 décembre. - MF
(Montage Edel Weiss Savoie)
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(Montage Edel Weiss Savoie)
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Transport de lait : Veynat reprend la branche transport de Translait Mauges
Le spécialiste du transport de liquides alimentaires Transports Veynat (1 250 véhicules) cherche à renforcer sa position dans la filière laitière. Il a donc finalisé la reprise de la branche d'activité transport de Translait Mauges (8 ensembles roula...
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Le spécialiste du transport de liquides alimentaires Transports Veynat (1 250 véhicules) cherche à renforcer sa position dans la filière laitière. Il a donc finalisé la reprise de la branche d'activité transport de Translait Mauges (8 ensembles roulants) situé dans le Maine-et-Loire, qui va se retrouver intégrée à son entité Transports Gobin, en Loire-Atlantique. - MF
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Position française sur le règlement européen « verdissement des flottes » : les fédés de transporteurs n'ont pas été consultées
En s'adressant à la Commission européenne, qui s'apprête à réviser le règlement sur les émissions de CO2 des véhicules, le gouvernement français appelle à allier ambition industrielle et décarbonation. Pour lui, la compétitivité de l'industrie automo...
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En s'adressant à la Commission européenne, qui s'apprête à réviser le règlement sur les émissions de CO2 des véhicules, le gouvernement français appelle à allier ambition industrielle et décarbonation. Pour lui, la compétitivité de l'industrie automobile européenne doit être accélérée par « des incitations à l'achat de véhicules électriques européens par les flottes d'entreprise ».
Autre mesure préconisée : un soutien urgent doit être apporté à la montée en cadence des usines de batteries et de composants européens. Cela implique notamment l'instauration de droits de douane sur les véhicules et composants chinois.
Face à ces déclarations, avec lesquelles elle est en partie d'accord, la fédération patronale française OTRE exprime son étonnement de n'avoir pas été consultée. « Construire la réglementation sans associer les professionnels du secteur, c'est prendre le risque de créer des obligations inapplicables, coûteuses ou déconnectées de leurs réalités économiques ».
La partie des préconisations françaises contre laquelle l'OTRE s'insurge est que l'incitation à l'achat de véhicules propres ne concerne que l'électrique : « Cela n'inclut pas les carburants alternatifs et nous sommes contre une politique de quotas punitifs. Aucun mode technologique unique ne peut couvrir l'ensemble des besoins du transport routier. Nous appelons donc à préserver une neutralité technologique en matière de motorisations, via le développement simultané de l'électrique, de l'hydrogène, des biocarburants avancés, du bioGNV, du B100 ».
Parallèlement, la fédération reconnaît que le gouvernement se dit « ouvert à des flexibilités sur la neutralité technologique », ce qui devrait ouvrir la voie à l'utilité des carburants alternatifs en faveur de la décarbonation. À suivre... - MF
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Une sortie de route assez insolite
En perdant le contrôle de son utilitaire bâché, un conducteur s'est retrouvé hier matin dans une posture qu'on pourrait quasiment qualifier de cocasse... On reconnaît qu'il s'agit très probablement d'un véhicule d'Europe de l'Est au fait qu'il a des ...
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En perdant le contrôle de son utilitaire bâché, un conducteur s'est retrouvé hier matin dans une posture qu'on pourrait quasiment qualifier de cocasse... On reconnaît qu'il s'agit très probablement d'un véhicule d'Europe de l'Est au fait qu'il a des bâches à la place des portes arrière. Le conducteur s'est littéralement planté à la quasi verticale dans un champ au bord de la D18 à Saint-Marcel-Bel-Accueil (en Isère). On ne connaît pas les raisons de cette sortie de route, mais on sait que le routier en express s'en est sorti sans blessure... - MF
Non, ce n'est pas une cascade de Patrick Bourny qui est à l'origine de cette photo de notre confrère Le Daupiné Libéré !
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Non, ce n'est pas une cascade de Patrick Bourny qui est à l'origine de cette photo de notre confrère Le Daupiné Libéré !
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Gamba & Rota intégré au groupe Alainé
Alainé prend une participation majoritaire dans Gamba & Rota et l'intègre à son organisation, afin d'élargir son offre intégrée en transport et logistique. Fondé en 1947 à Troyes (Aube), Gamba & Rota exploite plus de 200 camions et a connu une croiss...
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Alainé prend une participation majoritaire dans Gamba & Rota et l'intègre à son organisation, afin d'élargir son offre intégrée en transport et logistique. Fondé en 1947 à Troyes (Aube), Gamba & Rota exploite plus de 200 camions et a connu une croissance moyenne annuelle de 11% au cours des trois dernières années, avec quatre plateformes logistiques.
Quant au groupe familial Alainé, il est actif sur divers secteurs : transport, logistique, overseas, forwarding et lavage. Le tout avec 1 500 collaborateurs, plus de 600 000 m² de surface de stockage et 800 véhicules moteurs, 400 affrétés permanents et plus de 1 900 remorques et semi-remorques, dont une partie multimodale. - MF
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Un Tesla Semi en exploitation chez DHL aux USA
Début novembre, nous annoncions que le camion électrique Tesla Semi était encore retardé et qu'il est toujours dans sa phase expérimentale (voir 64042). La société d'Elon Musk se...
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Début novembre, nous annoncions que le camion électrique Tesla Semi était encore retardé et qu'il est toujours dans sa phase expérimentale (voir 64042). La société d'Elon Musk semble cependant avoir fait un pas vers sa commercialisation et la production de semi-série qui devrait commencer en 2026 : l'allemand DHL en a mis un exemplaire en exploitation dans son réseau aux USA, après une phase de test à Livermore (Californie).
Sur un trajet d'environ 628 km, le camion électrique chargé a consommé en moyenne 107 kWh/100 km, moins que les promesses de Tesla... Soit un coût énergétique entre 0,12 et 0,15 euro par kilomètre (au prix US de l'électricité), contre 0,34 à 0,47 euro pour un diesel. L'autonomie annoncée étant de 800 km, celui qui est exploité par DHL n'a besoin de passer à la borne de recharge qu'une seule fois par semaine, car il ne parcourt que 160 km par jour en moyenne. Quant au prix du Tesla Semi, il est de plus de 200 000 dollars aux USA (contre 120 000 dollars pour un camion diesel basique en moyenne). - MF
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Dix nouveaux Man TGX B100 pour le dunkerquois Bogaert
Depuis plusieurs années, le groupe dunkerquois Bogaert convertit une partie de sa flotte au biocarburant B100. Il a acquis ses premiers Man TGX au B100 en 2021 et en exploite aujourd'hui une quarantaine, qu'il renouvelle déjà puisque dix nouvelles un...
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Depuis plusieurs années, le groupe dunkerquois Bogaert convertit une partie de sa flotte au biocarburant B100. Il a acquis ses premiers Man TGX au B100 en 2021 et en exploite aujourd'hui une quarantaine, qu'il renouvelle déjà puisque dix nouvelles unités ont été livrées récemment. Une initiative cohérente puisque le B100 est issu du colza des Hauts-de-France...
Ces 40 camions représentent 40% de sa flotte, dédiée au transport de conteneurs, mais aussi au transport en tautliner et frigorifique, aux convois exceptionnel et au convoyage de porte-engins...
Man rappelle que ce carburant offre jusqu'en 2030 l'accès au dispositif de suramortissement dans le cadre de la Loi de Finance. La déduction fiscale s'établit à 40% pour les véhicules Man B100 exclusif d'un PTAC supérieur à 16 t lors de la première immatriculation. De plus, le B100 exclusif donne également accès à la vignette Crit'Air 1. - MF
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« Les véhicules de collection ne sont pas des actifs improductifs »
L'amendement n°I-3379 au projet de loi de finances 2026 concernant la création d'un Impôt sur la Fortune Improductive (IFI) prévoit d'intégrer les véhicules de collection à son assiette au titre d'actifs improductifs. Une qualification que la Fédérat...
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L'amendement n°I-3379 au projet de loi de finances 2026 concernant la création d'un Impôt sur la Fortune Improductive (IFI) prévoit d'intégrer les véhicules de collection à son assiette au titre d'actifs improductifs. Une qualification que la Fédération française des véhicules d'époque (FFVE) conteste, en s'adressant aux parlementaires. En effet, les véhicules de collection constituent un patrimoine culturel vivant, un atout touristique majeur pour nos territoires et un vecteur d'activité économique. - MF
Ce Berliet Sovel fait partie d'un patrimoine vivant, défend la FFVE.
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Ce Berliet Sovel fait partie d'un patrimoine vivant, défend la FFVE.
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248 kg de cocaïne dans un camion russe à Calais
Intercepté à Calais (Pas-de-Calais), un routier russe de 40 ans transportait dans son poids lourd près de 250 kg de cocaïne dans sa cargaison. Il a été repéré par les douaniers du port le jeudi 4 décembre, avant d'être interpellé et placé en garde à ...
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Intercepté à Calais (Pas-de-Calais), un routier russe de 40 ans transportait dans son poids lourd près de 250 kg de cocaïne dans sa cargaison. Il a été repéré par les douaniers du port le jeudi 4 décembre, avant d'être interpellé et placé en garde à vue. À la revente, cette marchandise est estimée entre 8 et 12 millions d'euros. - MF
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Jean-Marc Jancovici fait l'apologie du camion... et prône l'électrique comme solution globale. On décortique ses arguments.
Dans un post de Jean-Marc Jancovici sur Linkedin, l'ingénieur-conférencier expert dans le domaine de l'énergie rend hommage aux camions, « globules rouges de l'économie » et rappelle à bon escient que tout ce qu'on voit autour de nous est passé par l...
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Dans un post de Jean-Marc Jancovici sur Linkedin, l'ingénieur-conférencier expert dans le domaine de l'énergie rend hommage aux camions, « globules rouges de l'économie » et rappelle à bon escient que tout ce qu'on voit autour de nous est passé par la caisse d'un camion. D'autant qu'on ne vit pas tous à côté d'une gare.
Pour imaginer le futur avec le camion comme pièce essentielle de notre monde pendant un certain temps, JM Jancovici estime que l'alternative la plus crédible aux combustibles fossiles est l'électricité décarbonée, embarqué sur batteries, ou éventuellement fournie en continu avec des dispositifs guidés (comme des caténaires sur les autoroutes).
Il oublie de préciser que le seul vrai domaine de pertinence d'un véhicule équipé de batteries (BEV) est celui où il peut récupérer massivement de l'énergie lors des ralentissements ou des retenues en descente. Typiquement : environnement urbain et/ou itinéraire à relief prononcé. Hors de ce contexte, l'intérêt du BEV est très discutable.
« Côté transporteurs deux craintes subsistent, analyse Jancovici : un défaut d'autonomie, et un surcoût impossible à passer au client. (...) Cependant, il y a déjà un certain nombre de cas de figure où le camion électrique fait le job. Il a assez d'autonomie, et ravit les conducteurs, qui le trouvent plus silencieux et moins fatigant que le diesel. Il reste bien sûr des points à améliorer : plus de bornes de recharge, et un surcoût de 10% qu'il faut passer au client »... Mais, selon JMJ, rien de cela n'est insurmontable.
Sur le point du nombre de bornes, notre analyse, à la rédaction, est que c'est un faux problème. Le BEV ne peut espérer présenter un intérêt économique qu'avec un kWh à prix minimal qui ne s'obtient qu'à domicile et en heures creuses. Donc avec des points de charge au dépôt. Faire de la longue distance avec un BEV est une aberration (hors cas d'usage avec récupération d'énergie en descente). Les bornes publiques ne sont que des solutions de dépannage.
Et l'appel de puissance lors de la recharge ? Pas un problème non plus, selon Jancovici... En tablant sur l'électrification des 600.000 camions circulant en France et une meilleure efficacité du moteur qu'en thermique, il a calculé qu'il faudrait environ 40 TWh électriques, soit 10 GW en permanence si les camions roulent tous ensemble la journée et se rechargent tous la nuit. « Comparé aux 100 GW de puissance pilotable que nous avons dans l'Hexagone, ce n'est ni anecdotique ni délirant », souligne-t-il, avec un bémol : à condition de ne pas avoir tout préempté pour l'intelligence artificielle.
Ce post ayant été repris par des médias et sur FB, un internaute lui rétorque en fustigeant la délocalisation de l'impact écologique qu'impliquent les batteries : destruction d'écosystèmes et de peuples pour les mines, pollution d'une partie des batteries à l'étranger qui n'est pas prise en compte (comme dans le cas des panneaux solaires), sans parler du problème toujours insoluble du recyclage des batteries, qui finira toujours par coûter 10 fois plus cher que ce qui aura été modélisé. « On fait de fausses comparaisons au nom d'une idéologie plus que de l'écologie... », conclut cet internaute averti. - MF
Jean-Marc Jancovici se présente comme spécialiste du climat.
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L'expert oublie de préciser que sur autoroute dans des régions sans relief, par exemple, la pertinence du PL électrique est bien moindre puisqu'il n'a pas l'occasion sur ces parcours de récupérer massivement de l'énergie lors des ralentissements ou des retenues en descente. En outre, il doit recharger à prix fort.
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Une nouvelle boutique en ligne pour les pièces détachées PL Mercedes
Plus de 300 000 pièces détachées différentes pour camions et véhicules spéciaux de Mercedes-Benz Trucks & Buses, Setra et Fuso peuvent être commandées sur la boutique en ligne My PartsHub, qui remplace l'ancien portail en ligne Daimler Truck WebParts...
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Plus de 300 000 pièces détachées différentes pour camions et véhicules spéciaux de Mercedes-Benz Trucks & Buses, Setra et Fuso peuvent être commandées sur la boutique en ligne My PartsHub, qui remplace l'ancien portail en ligne Daimler Truck WebParts.
Les transporteurs clients, concessionnaires et ateliers français bénéficieront donc au printemps 2026 d'une plateforme centrale qui simplifie et accélère la distribution des pièces.
Pour la commande de pièces détachées pour camions, My PartsHub est directement relié au nouveau centre mondial de pièces détachées Daimler Truck à Halberstadt, qui est actuellement mis en service par étapes. - MF
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