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Deux saisies impressionnantes de drogue sur l'A10, puis une dans le pays basque... Les sanctions sont tout aussi impressionnantes !
En l'espace de quarante-huit heures, 330 kg de résine de cannabis et 112 kg de cocaïne ont été saisis par les douaniers de Poitiers dans deux camions sur l'A10. Le cannabis était dissimulé dans 55 sachets au fond de la remorque, derrière des palettes...
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En l'espace de quarante-huit heures, 330 kg de résine de cannabis et 112 kg de cocaïne ont été saisis par les douaniers de Poitiers dans deux camions sur l'A10. Le cannabis était dissimulé dans 55 sachets au fond de la remorque, derrière des palettes de canisse, et la cocaïne était cachée entre six bobines de fils de fer de gros calibre, sous forme de pains dans des sacs de sport. Les deux cargaisons ont été repérées par le chien de service, qui a marqué un arrêt à chaque fois.
Les deux chauffeurs routiers, un Lituanien et un Kirghize résidant en Lituanie, ont été jugés en comparution immédiate, rapporte notre confrère 20 Minutes, et condamnés à respectivement à deux et quatre ans de prison, ainsi qu'à de lourdes amendes. Outre ses 24 mois d'emprisonnement, le Lituanien a écopé de 5 ans d'interdiction de territoire et 000 euros d'amende douanière. L'ensemble routier a par ailleurs été confisqué.
Quant au Kirghize, il a été condamné à quatre ans de prison ferme, 5 ans d'interdiction du territoire français et à plus de 7 millions d'euros d'amende douanière !
Quelques jours plus tard, lors d'un contrôle au Pays basque, deux routiers espagnols (le père et le fils) interceptés avec 270 kg de cannabis (herbe et résine) dissimulés au milieu de tirelires chinoises ont été condamnés à trois ans de prison à Bayonne. - MF
Les douaniers ont découvert 55 sachets contenant 334 kg de résine de cannabis dans un camion sur l'A10. ©Douane Française.
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Les douaniers ont découvert 55 sachets contenant 334 kg de résine de cannabis dans un camion sur l'A10. ©Douane Française.
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Des solutions pour détecter le manque d'attention au volant
S'appuyant sur les témoignages de 1 550 conducteurs professionnels dans sept pays, dont 200 en France, le cabinet Wakefield Research a cherché à comprendre les causes de la distraction au volant. Cette enquête menée pour le compte de Samsara est l'oc...
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S'appuyant sur les témoignages de 1 550 conducteurs professionnels dans sept pays, dont 200 en France, le cabinet Wakefield Research a cherché à comprendre les causes de la distraction au volant. Cette enquête menée pour le compte de Samsara est l'occasion pour ce télématicien de proposer le recours à des technologies de détection et d'alerte en temps réel, alimentées par l'IA.
Il ressort en effet de l'enquête qu'en France, trois conducteurs sur quatre déclarent avoir été impliqués dans un accident ou un incident évité de justesse à cause d'un manque d'attention.
Près de la totalité des conducteurs interrogés (98%) ont personnellement subi les effets négatifs de ce comportement à risque, tels que des dommages matériels (39%), des problèmes juridiques ou des poursuites judiciaires (33%) et la suspension ou le retrait du permis (31%).
79 % des conducteurs français reconnaissent être régulièrement distraits par leur smartphone personnel. Lire et envoyer des messages (38%), consulter les réseaux sociaux (33%) et passer des appels (31%) figurent parmi les distractions les plus courantes identifiées.
Toutefois, la distraction au volant ne se limite pas à l'usage personnel du téléphone. En effet, 74 % des conducteurs affirment devoir utiliser leur téléphone ou d'autres technologies pour accomplir des tâches professionnelles pendant qu'ils conduisent. Quelles solutions les patrons ont-ils pour limiter l'usage du téléphone à des fins professionnelles ? Améliorer les systèmes de communication afin de limiter les appels et messages liés au travail, optimiser les itinéraires et les outils de navigation embarqués et privilégier la sécurité plutôt que la rapidité.
Il se trouve que la quasi-totalité (95%) des conducteurs français déclarent bénéficier d'un accompagnement et de formations spécifiques qui favorisent la sécurité et avoir amélioré leurs habitudes de conduite grâce à ça. Autre solution appréciée par les conducteurs : le visionnage des images de leur conduite, via les caméras embarquées, pour les aider à corriger leurs comportements distraits. - MF
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Des voleurs rentrés de nuit chez un transporteur avec leur propre tracteur en sont ressortis avec deux semi-remorques chargées
Une info France 3 Franche-Comté montre le culot que peuvent avoir des voleurs. Vers 1h du matin, dans la nuit de lundi à mardi, deux individus se sont introduits dans le parc des Transports Barbier à Noidans-lès-Vesoul (Haute-Saône) au volant d'un tr...
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Une info France 3 Franche-Comté montre le culot que peuvent avoir des voleurs. Vers 1h du matin, dans la nuit de lundi à mardi, deux individus se sont introduits dans le parc des Transports Barbier à Noidans-lès-Vesoul (Haute-Saône) au volant d'un tracteur Iveco rouge et noir. Visiblement bien renseignés, ils se sont emparés successivement (à 20 minutes d'intervalle) de deux semi-remorques et de leur précieux chargement, dont le patron préfère ne pas révéler la nature.
Toute la scène a été saisie par les caméras de vidéosurveillance de la société qui publie plusieurs captures d'écran ce mardi sur son compte Facebook. Le dirigeant lance également un appel à témoins et communique les numéros de plaques d'immatriculation des remorques dérobées. Au cas où. En attendant, une enquête de police est ouverte qui dira si oui ou non ils avaient un complice en interne.
Le patron, Julien Thévenot, à la tête de 110 salariés, ne se fait pas d'illusion : « Pour moi, ils ont déjà passé la frontière. Vous roulez dans la nuit et cinq heures après, vous êtes passés en Allemagne ou en Belgique. La marchandise va être écoulée très vite. Peut-être qu'on retrouvera les remorques à l'étranger, avec les plaques... ». - MF
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Un conducteur mort écrasé par une palette de bois qui a basculé
Plusieurs centaines de kilo de planches en bois contreplaqué qui vous tombent dessus, ça ne pardonne pas... Vendredi dernier, tôt le matin, un conducteur routier de 50 ans qui s'apprêtait à livrer du bois en palette dans une menuiserie de l'Isère a é...
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Plusieurs centaines de kilo de planches en bois contreplaqué qui vous tombent dessus, ça ne pardonne pas... Vendredi dernier, tôt le matin, un conducteur routier de 50 ans qui s'apprêtait à livrer du bois en palette dans une menuiserie de l'Isère a été victime du basculement d'une palette en ouvrant les portes de sa semi.
Notre confrère Le Dauphiné Libéré précise que l'enquête devra déterminer si le chargement chez le fournisseur avait bien été mis en sécurité dans la remorque, ou bien si celui-ci avait été déstabilisé durant le trajet. - MF
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Le lycée Claude Lebois (42) a encore brillé au Championnat de France des élèves conducteurs routiers
La 10e édition du Championnat de France des élèves conducteurs routiers s'est déroulée le week-end dernier au Parc Expo de Mulhouse, avec en lice 35 lycées professionnels, dont un établissement belge (voir lire la suite
La 10e édition du Championnat de France des élèves conducteurs routiers s'est déroulée le week-end dernier au Parc Expo de Mulhouse, avec en lice 35 lycées professionnels, dont un établissement belge (voir 63386). Pour la deuxième année consécutive, c'est le lycée Claude Lebois de Saint-Chamond, qui est arrivé sur la première marche du podium.
Ce lycée de la Loire (tout proche de St-Etienne) doit ce positionnement en tête à deux élèves, Yanis Legat (18 ans) et Baptiste Vernay (18 ans), respectivement 3e et 7e au classement général individuel. Ils ont été particulièrement bien formés par leur professeur principal, John Roche. Le premier a même remporté l'épreuve sur la manipulation du chrono 1CV2, nouvellement introduite.
Le lycée Claude Lebois de Saint-Chamond ayant été vainqueur en 2024, c'est lui qui devra organiser la prochaine compétition en 2026, du 22 au 24 mai, mais aussi en 2027, puisqu'il a remporté l'épreuve 2025 !
Le podium des lycées :
1/ Lycée Claude Lebois (Saint-Chamond) : Yanis Legat / Baptiste Vernay
2/ Lycée Château d'Épluches (Saint-Ouen-l'Aumône) : Demon Achart / Jawad Bellouza
3/ Lycée Paul Sérusier (Carhaix-Plouguer) : Mathis André / Corentin Vaudelin
Le podium individuel mixte :
1/ Valentin Deschamps (lycée Bel Air)
2/ Demon Achart (lycée Château d'Épluches)
3/ Yanis Legat (lycée Claude Lebois)
Le podium féminin :
1/ Gladys Bonnet (Gray)
2/ Maëlie Lefevre (Alençon)
3/ Noémie Hottard (Eghezée, en Belgique)
Baptiste Vernay et Yanis Legat, 18 ans, les deux élèves qui ont fait gagner le lycée de St-Chamond, avec leur prof principal, John Roche ©Bayon
Baptiste Vernay et Yanis Legat ©Bayon
©Bayon
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Les routiers étrangers ont partagé un repas sur une aire de Savoie, à l'initiative de la CGT
Des routiers de plusieurs nationalités se sont rencontrés le temps de partager des merguez et des sandwichs dimanche dernier sur l'aire d'autoroute de l'Abis, en Savoie. C'est la CGT Transports Alpes qui a eu cette idée pour briser la glace et évoque...
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Des routiers de plusieurs nationalités se sont rencontrés le temps de partager des merguez et des sandwichs dimanche dernier sur l'aire d'autoroute de l'Abis, en Savoie. C'est la CGT Transports Alpes qui a eu cette idée pour briser la glace et évoquer des règles européennes pas assez respectées, apprend-on par notre confrère Radio France. Ouzbeks, Roumains, Lituaniens, Serbes, Russes, Ukrainiens, Espagnols, Bulgares et même Tadjiks ont discuté entre eux et avec les responsables CGT présents en utilisant des applications de traduction en ligne.
Au-delà de la convivialité, cette « Journée fraternelle des conducteurs et conductrices routiers européens » a été conçue comme un moyen de sensibiliser ces étrangers au droit du travail européen. Car, selon le constat général, rien n'évolue vraiment. « Ils sont parqués comme des bêtes, ils dorment toujours dans leurs camions le week-end, et ils font leur bouffe dans une petite popote. Ils devraient dormir dans des hôtels payés par les patrons, c'est la réglementation européenne ! », rappelle la CGT Tranport, qui en a profité pour demander « davantage de contrôle pour protéger les chauffeurs étrangers mis sous pression par leurs entreprises », en s'adressant au directeur de cabinet de la préfète de Savoie, qui leur a rendu visite.
Celui-ci a répondu que la préfète organise les contrôles en fonction des situations qui lui sont signalées. « Par exemple, dernièrement, on avait beaucoup de contrôle sur la question de l'immigration irrégulière et sur la question des douanes pures », a-t-il expliqué. - MF
Les représentants de la CGT, le directeur du cabinet de la préfète (à droite), et les routiers étrangers, dimanche 8 juin sur l'aire de l'Abis en Savoie. (©Radio France)
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Les représentants de la CGT, le directeur du cabinet de la préfète (à droite), et les routiers étrangers, dimanche 8 juin sur l'aire de l'Abis en Savoie. (©Radio France)
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Un tour de France des restos routiers en photos
Restos Routiers est un livre de photos signé Guillaume Blot, qui a réalisé ce projet photographique de 2018 à 2024. Il illustre son tour de France et ses détours dans plus de 120 restaurants routiers du pays pour raconter ces lieux joyeux, dont beauc...
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Restos Routiers est un livre de photos signé Guillaume Blot, qui a réalisé ce projet photographique de 2018 à 2024. Il illustre son tour de France et ses détours dans plus de 120 restaurants routiers du pays pour raconter ces lieux joyeux, dont beaucoup disparaissent malheureusement.
Une évolution que l'auteur attribue au développement des autoroutes, aux déviations, mais aussi à l'arrivée des frigos et réchauds dans les cabines. En mettant la lumière sur ces lieux de proximité et sociabilité peu médiatisés, le photographe veut encourager le public à aller y manger pour qu'ils perdurent.
Pendant six ans, Guillaume Blot a pris le temps de papoter au comptoir du Tarin savoyard avec Johnny, chauffeur fan de western, manger sur les grandes tablées de Chez Mimi (Lot-et-Garonne), faire la queue avec Gérald à la douche du Trucker'Land en Haute-Marne, ou encore dormir sur le parking XL de La Cabane Bambou, dans la Somme.
Ce livre se veut donc un hommage aux restos routiers, ces résistants qui nourrissent les conducteurs routiers et les touristes pour en moyenne 16 euros le menu (très) complet, douche comprise.
Carte des restos routiers photographiés.
En librairie. Edité chez Hoëbeke (Gallimard), 28 euros. - MF
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Un ensemble sans conducteur circule sur route ouverte aux USA
Aurora Innovation, société technologique basée à Pittsburgh, est la première à faire circuler un ensemble semi-remorque sans conducteur sur une autoroute américaine. Cette étape majeure pourrait, selon ce spécialiste de la conduite autonome, boulever...
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Aurora Innovation, société technologique basée à Pittsburgh, est la première à faire circuler un ensemble semi-remorque sans conducteur sur une autoroute américaine. Cette étape majeure pourrait, selon ce spécialiste de la conduite autonome, bouleverser le transport de marchandises aux États-Unis en remédiant à la pénurie de chauffeurs dans le transport longue distance. Outre-Atlantique aussi, ce métier est en effet considéré comme exigeant et peu rémunéré.
Autre facteur qui pourrait pousser dans ce sens : l'essor du commerce en ligne, qui accentue les besoins en transport routier. « Les camions autonomes ne dorment pas, ne prennent pas de pause, ne commettent pas d'erreurs humaines, et ne sont pas soumis à la limite légale des 11 heures de conduite par jour », argumente Aurora. Son camion a déjà parcouru plus de 1 000 miles sans conducteur sur l'Interstate 45 au Texas. Il est équipé de capteurs quasi omnidirectionnels capables de détecter des objets à plus de 300 m.
Mais tout le monde n'est pas convaincu. Notre confrère The New York Times, qui traite le sujet, souligne que certains chauffeurs, chercheurs et syndicats s'inquiètent de cette technologie peu encadrée, qu'ils jugent risquée. Ils craignent des erreurs en cas de météo difficile ou de situations imprévues sur la route, et s'inquiètent aussi pour la sécurité des usagers et la perte d'emplois.
Angela Griffin, routière chevronnée du Maryland, confie sa première réaction, « Ça fait peur ». Elle évoque une pluie fine ayant provoqué des dysfonctionnements sur les capteurs de son propre camion semi-automatisé, et s'inquiète des réactions des véhicules autonomes face à des conditions météorologiques difficiles ou des flux de circulation imprévisibles.
Elle se souvient d'un incident sur l'Interstate 95 en Virginie : des panneaux indiquaient que deux voies de droite étaient fermées pour travaux. En suivant ces instructions, elle s'est déportée à gauche. Mais après un virage, elle a découvert que deux camions de chantier bloquaient cette voie, avec des ouvriers entre les véhicules. Elle a freiné brusquement et s'est arrêtée juste à temps. « J'ai cru que j'allais tuer ces gens. Je ne vois pas comment un camion autonome aurait pu réagir à cette menace ».
Des accidents impliquant des véhicules autonomes par le passé soulèvent des doutes. En 2022 par exemple, un camion autonome avec conducteur à bord a percuté une barrière en béton en Arizona. Aucun blessé, mais l'incident illustre les risques.
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Filmer un accident de camion peut coûter 135 euros et 3 points
Comme il y a un mois sur l'A40 (voir 63074), 109 automobilistes ayant filmé ou photographié avec leur téléphone un camion renversé sur l'A7 hier (le chauffeur, un sous-traitant d...
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Comme il y a un mois sur l'A40 (voir 63074), 109 automobilistes ayant filmé ou photographié avec leur téléphone un camion renversé sur l'A7 hier (le chauffeur, un sous-traitant de Dachser, s'était endormi au volant) ont récolté une amende de 135 euros et trois points de permis en moins. Ce midi, TF1 a mis ce sujet en avant dans son journal de 13h.
Ces conducteurs indélicats contribuent en effet souvent à aggraver les bouchons dans ces circonstances. Les gendarmes de la Drôme chargés de sécuriser les opérations de relevage n'ont pas pris la peine d'arrêter les contrevenants, préférant relever l'infraction visuellement, en relevant leur plaque d'immatriculation. Ils recevront l'amende automatisée dans leur boîte aux lettres... L'amende est minorée à 90 euros si le paiement est effectué sous 15 jours après réception du courrier. - MF
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Camion renversé sur l'A7 : la circulation toujours coupée en direction du sud, d'importants bouchons sur la N7
Pour une raison indéterminée, un porte-conteneurs s'est couché ce matin un peu avant 6h sur les voies de l'autoroute A7 en direction de Marseille, à hauteur de La Roche-de-Glun, dans le Nord-Drôme. Le poids lourd est toujours échoué au milieu des voi...
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Pour une raison indéterminée, un porte-conteneurs s'est couché ce matin un peu avant 6h sur les voies de l'autoroute A7 en direction de Marseille, à hauteur de La Roche-de-Glun, dans le Nord-Drôme. Le poids lourd est toujours échoué au milieu des voies. Une voie de circulation est aussi paralysée en direction du nord. Le conducteur, de 37 ans, n'a été que légèrement blessé.
il faudra plusieurs heures pour que l'autoroute soit rouverte, le temps de relever la camion, de réparer les glissières de sécurité endommagées et si besoin de refaire l'enrobé de la chaussée. En arrivant du nord, la sortie est obligatoire à l'échangeur de Tain-l'Hermitage. L'entrée est aussi interdite.
Traverser Lyon ce jeudi était décidément très compliqué puisque l'A46 nord a été coupée entre Anse et Mionnay au PK 10 dans les deux sens vers 3h à la suite d'un autre accident de camion. A 9h, le sens nord-sud reste fermé. L'autre sens a pu ouvrir, mais les bouchons sont toujours présents en sud-nord. - MF et AL
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Coincé entre sa cabine et sa porte par un camion manœuvrant
Sur le quai de chargement du transporteur frigorifique Primafrio, dans la zone de l'Aéroparc près de Belfort, un conducteur a été grièvement blessé par la faute d'un autre conducteur qui a reculé sans garder son axe. Le premier, qui venait de descend...
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Sur le quai de chargement du transporteur frigorifique Primafrio, dans la zone de l'Aéroparc près de Belfort, un conducteur a été grièvement blessé par la faute d'un autre conducteur qui a reculé sans garder son axe. Le premier, qui venait de descendre de sa cabine une fois à quai, s'est retrouvé coincé entre sa cabine et sa porte et a été grièvement blessé. Selon l'Est Républicain, les jours de cet homme de 33 ans ne seraient pas être en danger. Il souffrirait au moins d'une fracture. - MF
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La délocalisation d'un client compromet 197 emplois chez GXO Logistics à Saint-Michel-sur-Orge
Le logisticien GXO Logistics a lancé un plan de sauvegarde de l'emploi sur son site de Saint-Michel-sur-Orge (Essonne), apprend-on par notre confrère Le Parisien. Un de ses clients, Zara, souhaite relocaliser sa logistique en Espagne et en Pologne, c...
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Le logisticien GXO Logistics a lancé un plan de sauvegarde de l'emploi sur son site de Saint-Michel-sur-Orge (Essonne), apprend-on par notre confrère Le Parisien. Un de ses clients, Zara, souhaite relocaliser sa logistique en Espagne et en Pologne, ce qui pourrait coûter leur emploi à 197 salariés. Zara est une branche du géant espagnol de la mode Inditex. GXO chercher à reclasser des salariés sur d'autres sites dans le sud de l'Île-de-France, voire sur l'ensemble du territoire pour les employés les plus mobiles. - MF
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La Nationale 7 à l'honneur dans Auto-Moto sur TF1
Le thème de la Nationale 7 a de nouveau été évoqué par la chaîne TF1 dans le cadre de son émission Auto-Moto hier matin. C'est le dessinateur Thierry Dubois qui a servi de guide à bord d'un cabriolet Alfa Roméo. L'institution des Relais Routiers a bi...
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Le thème de la Nationale 7 a de nouveau été évoqué par la chaîne TF1 dans le cadre de son émission Auto-Moto hier matin. C'est le dessinateur Thierry Dubois qui a servi de guide à bord d'un cabriolet Alfa Roméo. L'institution des Relais Routiers a bien sûr été évoquée. Et des images d'un précédent reportage focalisé sur le transporteur-collectionneur Xavier Hory ont été reprises et diffusées pour montrer des véhicules correspondant à la grande époque de la N7, les années 70. Ce personnage haut de couleurs fait d'ailleurs l'objet d'un reportage dans le magazine Les Routiers de juin 2025 en vente actuellement. Voir le replay de l'émission sur ce lien. - MF
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Ce qu'on peut lire dans le numéro de juin du mag Les Routiers
Le numéro de juin du magazine Les Routiers est en kiosque. Il fait sa une sur Xavier Hory, un transporteur frappé de collectionnite aigüe, qui collabore régulièrement au tournage de films et de séries mettant en scène des vieux camions et utilitaires...
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Le numéro de juin du magazine Les Routiers est en kiosque. Il fait sa une sur Xavier Hory, un transporteur frappé de collectionnite aigüe, qui collabore régulièrement au tournage de films et de séries mettant en scène des vieux camions et utilitaires restaurés par ses soins. Autre sujet « humain », des conducteurs routiers répondent au microtrottoir sur une question intéressante : conduire le camion de leurs rêves est-il plus important que le reste ?
Une grosse part est faite à l'un des fléaux auxquels les routiers se heurtent au quotidien : la saturation des parkings. Ce sujet est traité au travers de trois articles. L'un se penche sur la responsabilité de l'État dans les PV pour dépassement des heures de conduite. L'autre ausculte la grosse tension subie par les conducteurs à force d'être confrontés à cette problématique. Un troisième, à travers un sondage, se demande s'ils sont nombreux à constater un regain de PV pour mauvais stationnement.
Côté technique, deux sujets : la prise en main du Man TGX 18.520 avec moteur D30, très économe en carburant, et un point sur l'actualité du constructeur Ford Trucks, qui lance la génération 2 du F-Max et F-Line, introduit des porteurs et prépare des camions électriques, ainsi qu'une nouvelle cabine et un tracteur avec moteur à combustion hydrogène.
En juillet-août, l'article Miniatures porte sur les porte-voitures de Corgi Toys. La réglementation n'est pas oubliée, avec un point sur les dispositifs Vecto, Vecto Trailer Tool et Cafe, qui vont peser dans la balance en 2025. Un gros point sur les règles qui régissent la rémunération examine le mode de calcul des salaires, les « accessoires » du salaire, le bulletin de paie, etc. En kiosque (5,90 euros) ou sur abonnement (54 euros par an). Pour vous abonner.
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RCEA en Saône-et-Loire : pourquoi tant de routiers sur le bord de la route
La Route Centre Europe Atlantique (RCEA) connaît un trafic très dense sur ses 175 km en Saône-et-Loire entre la RN 80 au nord, la 70 à l'ouest et la 79 au sud. Au nord, 30 000 véhicules y circulent chaque jour, dont 10 000 camions. Au sud, sur 10 000...
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La Route Centre Europe Atlantique (RCEA) connaît un trafic très dense sur ses 175 km en Saône-et-Loire entre la RN 80 au nord, la 70 à l'ouest et la 79 au sud. Au nord, 30 000 véhicules y circulent chaque jour, dont 10 000 camions. Au sud, sur 10 000 véhicules par jour, 3 000 étaient des PL avant l'ouverture de A79 fin 2023, selon notre confrère le Journal de Saône-et-Loire.
De nouvelles aires de stationnement ont été ouvertes pour les poids lourds avec la mise en 2x2 voies côté Saône-et-Loire, à Charolles (10 places) et de Montchanin (50 places), en plus de l'aire de la Guye à Sainte-Hélène (64 places) et d'autres plus petites pour un total de 290 places en Saône-et-Loire. Serait-ce insuffisant, se demande notre confrère ? Clairement, la réponse est oui ! - MF
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En Iran, la grève des chauffeurs de poids lourds s'étend
Dans plus de 125 villes d'Iran, malgré les pressions du régime, les conducteurs de poids lourds, pour la plupart monopossesseurs donc à leur compte, en sont à leur 8e jour de grève ! Ils protestent notamment contre la hausse du prix des carburants et...
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Dans plus de 125 villes d'Iran, malgré les pressions du régime, les conducteurs de poids lourds, pour la plupart monopossesseurs donc à leur compte, en sont à leur 8e jour de grève ! Ils protestent notamment contre la hausse du prix des carburants et réclament de meilleures conditions de travail dans un secteur crucial pour l'économie de la République islamique.
Hormis le gazole, les primes d'assurance et les pièces détachées sont trop chères, la sécurité routière déplorable et les tarifs du fret trop faibles pour que les conducteurs petits patrons s'en sortent. Tout a commencé dans la ville portuaire de Bandar Abbas (sud-ouest), avant de s'étendre comme une trainée de poudre.
La législation du travail en Iran autorise certes les grèves, mais ce mouvement est inhabituel en termes de durée et d'ampleur nationale, précise l'AFP, qui rapporte que l'observateur des droits humains Dadban a fait état sur les réseaux sociaux d'attaques des forces de sécurité sur les manifestations des chauffeurs. Des vidéos montrent des routes désertes alors qu'elles devraient être bondées de camions.
Les médias iraniens n'ont quasiment pas abordé le sujet. Mais le président du Parlement iranien a été cité, affirmant que les camionneurs représentent un « maillon clé de la chaîne de production et d'approvisionnement » dans le pays et exhortant le gouvernement à agir rapidement. - MF
Ces photos sont tirées d'une vidéo publiée par Kayan Life sur Instagram.
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Une conductrice de camion-benne soupçonnée d'homicide volontaire pour un refus de priorité qui a gravement dégénéré
Un sordide fait divers rapporté par tous les quotidiens s'est déroulé lundi à un échangeur routier près de Compiègne, dans l'Oise. Une automobiliste de 43 ans qui s'était plantée devant un camion-benne pour forcer la conductrice à faire un constat a ...
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Un sordide fait divers rapporté par tous les quotidiens s'est déroulé lundi à un échangeur routier près de Compiègne, dans l'Oise. Une automobiliste de 43 ans qui s'était plantée devant un camion-benne pour forcer la conductrice à faire un constat a été mortellement écrasée par celle-ci, qui a pris la fuite.
La conductrice du camion (32 ans), rapidement interpellée à son domicile, est soupçonnée d'avoir délibérément écrasé l'automobiliste avec laquelle elle venait d'avoir une altercation suite à un accrochage des deux véhicules. On peut aussi imaginer que l'automobiliste se trouvait dans l'angle mort de la conductrice du camion. Les policiers du commissariat de Compiègne sont en charge de l'enquête pour homicide volontaire. - MF
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Huit camions sauvés du feu par des conducteurs étrangers
Un spectaculaire incendie s'est déclaré hier soir vers 20h40 à Bressuire dans l'enceinte des transports Julien Rimbaud, dans la ZA de La Ferrière (derrière le McDo). Le feu, parti d'un semi-remorque, a complètement détruit trois camions...
V...
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Un spectaculaire incendie s'est déclaré hier soir vers 20h40 à Bressuire dans l'enceinte des transports Julien Rimbaud, dans la ZA de La Ferrière (derrière le McDo). Le feu, parti d'un semi-remorque, a complètement détruit trois camions...
Vifs d'esprit, des conducteurs étrangers stationnés dans les environs ont donné l'alerte et ont contribué à l'évacuation de huit autres camion. Le risque de propagation au bâtiment principal a également été écarté. - MF
Dans sa photo, le courrier de l'Ouest précise que deux des trois camions étaient chargés de menuiseries.
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Dans sa photo, le courrier de l'Ouest précise que deux des trois camions étaient chargés de menuiseries.
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Un camion a pris feu ce matin à l'intérieur du tunnel du Fréjus
Plus de peur que de mal, mais ce fut tout de même certainement traumatisant pour les 20 camions et deux voitures qui se sont retrouvés bloqués ce matin dans le Tunnel du Fréjus. Ils avaient la malchance de rouler derrière un semi-remorque qui a pris ...
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Plus de peur que de mal, mais ce fut tout de même certainement traumatisant pour les 20 camions et deux voitures qui se sont retrouvés bloqués ce matin dans le Tunnel du Fréjus. Ils avaient la malchance de rouler derrière un semi-remorque qui a pris feu un peu avant 6h, vraisemblablement suite à un échauffement au niveau des essieux, apprend-on par France3 région.
Très réactif, le conducteur routier a rapidement maîtrisé l'incendie avec un extincteur. Le temps que les secours interviennent, il a fallu près de trois heures pour rouvrir le tunnel à la circulation. Hormis une personne légèrement intoxiquée par les fumées, aucun blessé grave n'est à déplorer. - MF
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Un convoi exceptionnel impressionnant a traversé Pont-à-Mousson hier
7 m de haut et 7 m de large ! Un convoi exceptionnel transportant un dégazeur (dispositif destiné à éliminer l'oxygène ou d'autres gaz dissous dans l'eau) a mis pas moins de trois heures à traverser à Pont-à-Mousson.
Parti de Void-Vacon, dan...
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7 m de haut et 7 m de large ! Un convoi exceptionnel transportant un dégazeur (dispositif destiné à éliminer l'oxygène ou d'autres gaz dissous dans l'eau) a mis pas moins de trois heures à traverser à Pont-à-Mousson.
Parti de Void-Vacon, dans la Meuse, il a rejoint ensuite Launeveville-devant-Nancy, où se trouve l'usine de Novacarb. Le convoi, opéré par Capelle, était accompagné par une quinzaine de véhicules (dont deux motos), ainsi que par des agents d'Enedis et de Télécom chargés de soulever les câbles aériens, afin de faciliter le passage. - MF
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