|
|
|
Articles en accès libre |
1. Choisissez un n° |
2. Puis un article |
|
|
Randstad recrute 7 000 conducteurs de poids lourds, même sans qualification spécifique
Randstad recherche actuellement 7 000 conducteurs de poids lourds de marchandises et de transport de voyageurs. La porte est ouverte aux personnes sans qualification spécifique, auxquelles la société d'intérim propose de faire un Titre Pro sur trois ...
lire la suite
Randstad recherche actuellement 7 000 conducteurs de poids lourds de marchandises et de transport de voyageurs. La porte est ouverte aux personnes sans qualification spécifique, auxquelles la société d'intérim propose de faire un Titre Pro sur trois mois. Elles en ressortent avec le TP ad hoc, la Fimo, la carte chronotachygraphe et des formations complémentaires adaptées à l'évolution des véhicules (par exemple pour conduire un camion électrique ou hydrogène). Il suffit pour y accéder d'avoir un permis B et d'être âgé de plus de 18 ans.
Les qualifications les plus recherchées sont les conducteurs poids lourds et super lourds pour des activités allant de la messagerie au transport frigorifique, en passant par le BTP ou encore la collecte de déchets et des matières dangereuses. Les contrats proposés sont des missions d'intérim, des CDII (CDI Intérimaire), des CDD et des CDI.environ trois mois, qui leur permet d'obtenir un titre professionnel et d'accéder à un emploi durable.
Tout au long de la Semaine des métiers du Transport et de la Logistique, du 16 au 20 juin 2025, les consultants Randstad accueilleront, sans rendez-vous, les candidats en agence pour leur faire découvrir la diversité des métiers, les parcours de formation et les nombreuses opportunités qu'offre la filière. - MF
|
|
Alexis Gibergues reconduit à la présidence de l'OTRE pour un second mandat
Réunie en Assemblée Générale le 13 juin 2025, l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens (OTRE) a réélu pour quatre ans Alexis Gibergues à sa présidence. Dirigeant des Déménagements Gibergues en Ile-de-France, il a à ses côtés un bureau reno...
lire la suite
Réunie en Assemblée Générale le 13 juin 2025, l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens (OTRE) a réélu pour quatre ans Alexis Gibergues à sa présidence. Dirigeant des Déménagements Gibergues en Ile-de-France, il a à ses côtés un bureau renouvelé composé de :
• Christophe Dicostanzo, président de l'OTRE Occitanie, réélu vice-président,
• Dominique Pechavy, président de l'OTRE Lot et Garonne, réélu trésorier,
• Clément Verdié, dirigeant de la société Verbus, élu secrétaire.
Pour son mandat 2025-2029, Alexis Gibergues a plusieurs priorités :
• Ancrage territorial : renforcer le lien avec les acteurs locaux afin d'adapter les actions du secteur aux réalités économiques régionales.
• Attractivité des métiers : développer l'emploi, améliorer la formation et mieux valoriser les parcours professionnels au sein du transport routier.
• Equité économique : intensifier la lutte contre la concurrence déloyale et promouvoir une juste répartition de la valeur pour assurer une compétitivité durable.
• Dialogue européen renforcé : accroître l'influence de l'OTRE au niveau européen pour défendre les intérêts des entreprises françaises face aux enjeux européens majeurs.
• Transition écologique et numérique pragmatique : accompagner les TPE, PME et ETI du secteur vers une transformation environnementale et technologique réaliste, conciliant performance économique et engagement environnemental. - MF
|
|
Alléger la fiscalité du TRM : une urgence pour la compétitivité du secteur
Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été (voir 63285), TLF a participé à l'atelier n°2, portant sur un enje...
lire la suite
Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été (voir 63285), TLF a participé à l'atelier n°2, portant sur un enjeu majeur pour l'avenir du secteur : la nécessité de réduire la fiscalité pesant sur le Transport Routier de Marchandises (TRM), condition essentielle au rétablissement de la compétitivité de la chaîne logistique française.
Cette conférence ambitionne donc de bâtir un modèle pérenne de financement des infrastructures de mobilité en France à horizon 2040, en prenant notamment en considération le terme des concessions autoroutières entre 2031 et 2036. Membre actif, l'Union TLF porte la voix des transporteurs routiers de marchandises, des commissionnaires et des logisticiens. Elle y défend la nécessité de :
1. Mieux répartir le financement des infrastructures pour alléger les charges pesant sur les transporteurs de marchandises, en considérant leurs enjeux de compétitivité et leur contribution déjà importante à la fiscalité routière.
2. Établir un cap clair, stable et réaliste pour la décarbonation et l'intermodalité des transports de marchandises.
La note ( à consulter ici) présente les raisons pour lesquelles il est urgent d'alléger la fiscalité pesant sur le transport routier de marchandises. Dans ce contexte, l'Union TLF s'oppose fermement à toute nouvelle hausse de charge qui s'imposerait sur les transporteurs français.
TLF défend par ailleurs au sein de l'atelier 4 des propositions pour encourager la décarbonation et l'intermodalité du transport de marchandises et la décarbonation du transport routier. - MF
|
|
Clap de fin définitif pour les ZFE ?
Mercredi 28 mai 2025, les députés ont majoritairement voté en faveur de la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Une « victoire », selon l'association 40 millions d'automobilistes, qui combat cette mesure depuis 2018. La veille du v...
lire la suite
Mercredi 28 mai 2025, les députés ont majoritairement voté en faveur de la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE). Une « victoire », selon l'association 40 millions d'automobilistes, qui combat cette mesure depuis 2018. La veille du vote, elle a transmis aux députés les résultats de son sondage concluant que 66,5% des automobilistes directement impactés par les ZFE n'ont absolument pas les moyens de renouveler leur véhicule. Seuls 10% peuvent envisager cet achat sans accroc.
« En supprimant ce dispositif, l'Assemblée nationale reconnaît la nécessité d'une transition écologique plus juste et équitable, qui n'oppose pas écologie et inclusion sociale », estime Pierre Chasseray, le président de 40 millions d'automobilistes.
Pour les villes de Lyon et de Paris, où les ZFE sont déjà en place, le vote doit être confirmé dans le cadre du projet de loi de simplification. - MF
|
|
L'autoroute ferroviaire alpine Aiton-Orbassano va-t-elle redémarrer un jour ?
La reprise de la ligne Aiton-Orbassano (France-Italie) n'est toujours pas à l'ordre du jour. Créée en 2003 et arrêtée depuis l'éboulement de La Praz il y a un peu plus d'un an et demi (en août 2023), cette expérience originale de report modal pourrai...
lire la suite
La reprise de la ligne Aiton-Orbassano (France-Italie) n'est toujours pas à l'ordre du jour. Créée en 2003 et arrêtée depuis l'éboulement de La Praz il y a un peu plus d'un an et demi (en août 2023), cette expérience originale de report modal pourrait ne pas redémarrer, car la reprise de son activité de transport de semi-remorques à travers les Alpes semble suspendue à des décisions des États, selon notre confrère ledauphine.com.
Selon France 3, à moins d'attendre l'ouverture de la ligne Lyon-Turin aux alentours de 2033, il reste en effet des questions à trancher. Qui va épurer les 4 millions d'euros de passif ? Quelles modalités juridiques pour les subventions, alors que le bail de la société gestionnaire arrive à expiration ? Quel montant sera octroyé par les deux pays pour assurer à la ligne une activité pérenne ? Autant de questions, pour l'instant encore, sans réponse. - MF
500 000 semi-remorques ont été transportées en 20 ans, soit 32 000 chaque année depuis la création de Aiton-Orbassano en 2003.
|
|
Financer le rail sur le dos des transporteurs routiers ? « Une ligne rouge pour un secteur déjà exsangue », s'insurgent les fédérations patronales
Les fédérations de transporteurs s'insurgent d'une même voix contre l'une des pistes de financement pour l'entretien du réseau ferroviaire évoquées par Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF. Celui-ci a remis sur le tapis une « éco-contribution des ...
lire la suite
Les fédérations de transporteurs s'insurgent d'une même voix contre l'une des pistes de financement pour l'entretien du réseau ferroviaire évoquées par Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF. Celui-ci a remis sur le tapis une « éco-contribution des poids lourds, visant principalement les camions étrangers en transit ».
Or la proposition de cibler uniquement les camions étrangers est juridiquement inapplicable. Le droit européen impose une égalité de traitement entre les transporteurs : en pratique, ce sont les entreprises françaises qui paieront. Selon les fédés, le vrai objectif de cette sortie est de remettre sur la table, en douceur, un projet d'écotaxe généralisée. Ce dont elles ne veulent pas.
Les organisations patronales de transporteurs soulignent que le transport routier français a les marges les plus faibles d'Europe et traverse une crise sans précédent. « En aucun cas les transporteurs ne peuvent supporter une charge supplémentaire. Rappelons qu'à la suspension de l'écotaxe en 2014, ils ont déjà absorbé une hausse de fiscalité de 4 centimes par litre de gazole, soit 600 millions d'euros annuels ».
À chaque fois que les charges des transporteurs augmentent, martèlent la FNTR, TLF et l'OTRE, ce sont les Français et les industriels qui paient, ou des emplois qui sont détruits. Le transport routier de marchandises supporte plus de 4 milliards d'euros de fiscalité spécifique par an.
Concernant les péages, la France est le seul pays européen à disposer de 9 200 km de réseau autoroutier concédé payant : les poids lourds, qui représentent 15 à 20% du trafic, génèrent 33% des recettes. « Ajoutons à cela l'instabilité réglementaire, la multiplication des normes, et la concurrence étrangère, qui agit souvent dans des conditions sociales et fiscales bien plus favorables ».
« Le développement du fret ferroviaire ne se fera pas contre le transport routier, mais avec lui. La seule filière ferroviaire en croissance aujourd'hui est le transport combiné, qui repose précisément sur une articulation entre rail et route. Taxer davantage les camions, c'est pénaliser le transport intermodal, ralentir le report modal, et freiner le verdissement du secteur, en limitant la capacité d'investissement des entreprises dans des solutions plus propres », préviennent les organisations de transporteurs. - MF
L'écotaxe PL remise sur le tapis par le PDG de la SNCF ne peut juridiquement pas viser uniquement les camions étrangers en transit.
|
L'écotaxe PL remise sur le tapis par le PDG de la SNCF ne peut juridiquement pas viser uniquement les camions étrangers en transit.
|
|
« Il est essentiel de mieux orienter les recettes existantes », selon l'OTRE
Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports, l'OTRE, représenté par son délégué général Jean-Marc Rivera, a assisté à l'Atelier n°4 « Report modal et transport de marchandises », le 20 mai à Paris. La fédération a rappelé à cette occasi...
lire la suite
Dans le cadre de la conférence Ambition France Transports, l'OTRE, représenté par son délégué général Jean-Marc Rivera, a assisté à l'Atelier n°4 « Report modal et transport de marchandises », le 20 mai à Paris. La fédération a rappelé à cette occasion que plutôt que d'imaginer de nouvelles taxes ou prélèvements pour financer les projets, faudrait mieux flécher les recettes existantes. - MF
Le ministre des Transports s'exprimant à la conférence Ambition France Transports.
|
Le ministre des Transports s'exprimant à la conférence Ambition France Transports.
|
|
Conférence « Ambition France Transports » : les attentes de TLF
La conférence Ambition France Transports souhaitée par le Premier ministre, organisée par le ministre des Transports et présidée par Dominique Bussereau, a été lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été. Ces travaux visent à définir un mod...
lire la suite
La conférence Ambition France Transports souhaitée par le Premier ministre, organisée par le ministre des Transports et présidée par Dominique Bussereau, a été lancée le 5 mai pour des travaux prévus jusqu'à l'été. Ces travaux visent à définir un modèle pérenne de financement des infrastructures de mobilité en France (voir 63232).
L'Union TLF, qui est membre de cette conférence, présente ses attentes vis-à-vis de ces travaux. L'organisation patronale appelle tout d'abord à redonner de la compétitivité aux transporteurs de marchandises français en optimisant et réaffectant ses contributions actuelles : « Les transporteurs contribuent déjà nettement plus que leur usage au financement des infrastructures de mobilité ».
Face à la concurrence des voisins européens, le poids des charges pesant sur les transporteurs français a contribué au déclin massif du pavillon français, constate TLF, qui observe que seule une mineure partie des recettes fiscales obtenues des usages routiers est explicitement fléchée sur l'entretien et le financement des infrastructures routières.
Enfin, TLF appelle à fixer un cap clair, stable et réaliste pour la massification du fret et la décarbonation du transport de marchandises. Sur ce dernier point, TLF souligne : « Les acteurs du transport de marchandises et de la logistique sont engagés dans leur décarbonation, mais souffrent d'un manque de visibilité et de pragmatisme dans les politiques publiques ». - MF
|
|
La conférence de réflexion sur le financement des infrastructures s'ouvre à Marseille
À compter d'aujourd'hui, des sujets sensibles comme l'Ecotaxe PL ou l'avenir des concessions autoroutières vont être débattus ces prochains mois : des groupes de travail vont plancher sur le financement des infrastructures.
Appelés « Ambitio...
lire la suite
À compter d'aujourd'hui, des sujets sensibles comme l'Ecotaxe PL ou l'avenir des concessions autoroutières vont être débattus ces prochains mois : des groupes de travail vont plancher sur le financement des infrastructures.
Appelés « Ambition France Transports » (voir 63211), ces travaux inaugurés à Marseille par François Bayrou et présidés par Dominique Bussereau rendront leurs conclusions en juillet prochain... Le gouvernement réfléchit donc aux meilleurs moyens d'assurer le financement des infrastructures de transport jusqu'en 2040 sans grever encore plus les finances de l'État.
Notre confrère sudouest.fr, qui est aux premières loges, précise que les quatre ateliers, réunissant chacun entre 10 et 15 participants, seront composés d'élus, de professionnels et d'économistes. L'entretien des infrastructures, primordial, concerne les routes, rails, ponts, gares, etc., dont la dégradation s'accélère avec le changement climatique.
Selon les calculs des sénateurs Hervé Maurey (groupe centriste) et Stéphane Sautarel (LR), qui ont rendu leur rapport en 2023, les déplacements des Français et le transport de marchandises nécessiteront d'ici 2030 environ 100 milliards d'euros, fonctionnement et investissements confondus.
« Si on veut faire de la transition écologique en France, il faut faire plus de trains de fret, plus de transports publics, plus de camions électriques, plus de voies fluviales », a souligné Dominique Bussereau, qui fut ministre des Transports entre 2002 et 2004, puis de 2007 à 2010.
Un atelier concernera la mobilité routière et notamment l'avenir des concessions autoroutières, exploitées essentiellement par trois grands groupes (Vinci, Eiffage et l'Espagnol Abertis), qui arrivent toutes à échéance entre 2031 et 2036. Voici quelques-unes des questions à trancher : conserver le modèle des concessions? Passer à la gestion directe ? Financer leur entretien par le péage ou bien par l'impôt? Mettre la route à contribution pour financer le ferroviaire? Autre question qui risque de tendre les discussions: le retour éventuel de l'écotaxe poids lourds, mesure qui avait suscité un tollé en 2013 avant d'être abandonnée. À suivre... - MF
Les péages serviront-ils à financer l'entretien des infrastructures si l’État décide de reprendre la gestion des autoroutes ? ? C'est l'une des pistes qui va être étudiée...
|
Les péages serviront-ils à financer l'entretien des infrastructures si l’État décide de reprendre la gestion des autoroutes ? ? C'est l'une des pistes qui va être étudiée...
|
|
Une conjoncture toujours très dégradée dans le TRM au 1er trimestre 2025
Au premier trimestre 2025, les indicateurs de conjoncture se maintiennent à un niveau extrêmement bas, sans perspective d'amélioration à moyen terme, constate la FNTR au terme de son enquête auprès des transporteurs. 55% des 829 chefs d'entreprise qu...
lire la suite
Au premier trimestre 2025, les indicateurs de conjoncture se maintiennent à un niveau extrêmement bas, sans perspective d'amélioration à moyen terme, constate la FNTR au terme de son enquête auprès des transporteurs. 55% des 829 chefs d'entreprise qui ont répondu constatent que l'activité au 1er trimestre 2025 est en baisse et 60% sont insatisfaits de la situation de leur entreprise. Ils ne prévoient aucune amélioration, tout au plus une stabilisation, tandis que 24% restent dans l'expectative.
Les investissements (essentiellement dans le renouvellement du parc) régressent encore au 1er trimestre 2025. Quant aux effectifs de conducteurs, ils stagnent à un niveau bas ces trois derniers mois. Il n'est pas envisagé d'évolution positive.
|
|
Dominique Bussereau va présider la conférence sur le financement des infrastructures de mobilités en France
Baptisée « Ambition France Transports », la conférence sur le financement des infrastructures de mobilités en France est chargée de définir les moyens concrets pour financer nos infrastructures sur le long terme, afin que tous les Français aient accè...
lire la suite
Baptisée « Ambition France Transports », la conférence sur le financement des infrastructures de mobilités en France est chargée de définir les moyens concrets pour financer nos infrastructures sur le long terme, afin que tous les Français aient accès à la mobilité. Elle sera présidée par Dominique Bussereau, qui fut ministre des Transports de 2007 à 2010.
En tant que représentante des transporteurs de marchandises et logisticiens français, la fédération TLF appelle à placer la compétitivité des acteurs des filières transport et logistique au cur des débats, car les infrastructures de mobilités sont essentielles à leur bon fonctionnement. Les transporteurs devront donc être pleinement intégrés à ces discussions pour mieux prendre en compte leurs réalités opérationnelles, que ce soit les défis de leur transition énergétique, les enjeux de l'intermodalité du transport de marchandises ou encore de l'aménagement économique du territoire à travers le foncier logistique.
« Les transporteurs routiers français, principalement composé de TPE et de PME, sont déjà lourdement taxés (...). Ces échanges doivent mettre un coup d'arrêt aux écotaxes locales qui se développent et qui risquent de mettre en péril les transporteurs locaux des régions concernées, comme c'est le cas en Alsace et dans le Grand Est », prévient Jean-Thomas Schmitt, Président de l'Union TLF. - MF
|
|
Les transporteurs adhérents à l'OTRE accompagnés dans leur stratégie énergétique
Le cabinet de conseil Alliance des Énergies, expert en courtage et en efficacité énergétique auprès des professionnels, a signé un partenariat avec l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens (OTRE). Objectif : accompagner les 3600 entreprise...
lire la suite
Le cabinet de conseil Alliance des Énergies, expert en courtage et en efficacité énergétique auprès des professionnels, a signé un partenariat avec l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens (OTRE). Objectif : accompagner les 3600 entreprises adhérentes de l'organisation professionnelle dans l'optimisation et la gestion de leurs dépenses énergétiques.
Cet accompagnement porte sur la négociation des contrats d'électricité et de gaz (accès à des offres compétitives adaptées), sur l'optimisation des taxes énergétiques (allègement des charges fiscales liées à l'énergie, qui peuvent représenter un tiers de la facture) et sur l'amélioration de la performance énergétique de leurs infrastructures (via des audits complets, des plans d'action et des proposition de solutions de financement dédiées). - MF
Alexandre Beaufils, DG délégué d’Alliance des Énergies, et Jean-Marc Rivera, Directeur délégué général de l’OTRE.
|
Alexandre Beaufils, DG délégué d’Alliance des Énergies, et Jean-Marc Rivera, Directeur délégué général de l’OTRE.
|
|
Rencontre au SITL entre le ministre Philippe Tabarot et le président de l'OTRE Alexis Gibergues
Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, était sur le salon SITL pour intervenir lors d'une conférence et réaffirmer le rôle essentiel du transport et de la logistique en France. À cette occasion, Alexis Gibergues, président de l'OTRE, a pu ...
lire la suite
Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, était sur le salon SITL pour intervenir lors d'une conférence et réaffirmer le rôle essentiel du transport et de la logistique en France. À cette occasion, Alexis Gibergues, président de l'OTRE, a pu lui rappeler les trois priorités de l'organisation :
• les difficultés rencontrées par les entreprises dans le domaine assurantiel
• la nécessité de faire aboutir en urgence aux propositions concrètes portées par l'OTRE pour une juste rémunération du coût du transport
• la volonté de participer activement aux discussions autour de la conférence de financement « Ambition France Transports ». - MF
|
|
L'Europe en passe d'abaisser à 18 ans au lieu de 21 l'âge minimum pour les permis PL
Sur l'âge minimum requis pour passer l'examen du permis poids lourd, les règles sont loin d'être harmonisées entre les pays membres de l'Union européenne. Selon un accord préliminaire conclu au niveau européen pour répondre à la pénurie de chauffeurs...
lire la suite
Sur l'âge minimum requis pour passer l'examen du permis poids lourd, les règles sont loin d'être harmonisées entre les pays membres de l'Union européenne. Selon un accord préliminaire conclu au niveau européen pour répondre à la pénurie de chauffeurs routiers, il pourrait passer de 21 à 18 ans dans les 27 pays membres. Rappelons qu'en France, un candidat au permis C/CE doit être âgé d'au moins 21 ans, sauf s'il suit une formation professionnelle (CAP, Bac pro, titre professionnel), auquel cas l'âge minimum est de 18 ans.
C'est l'un des trois points de l'accord trouvé entre le Parlement et le Conseil dans le cadre des mesures destinées à moderniser les règles en matière de permis de conduire et de sécurité routière. L'accord attend désormais d'être approuvé par le Conseil et le Parlement. Suite à quoi les États membres disposeront de quatre ans pour transposer ces nouvelles dispositions dans leur droit national et les mettre en uvre.
Autre nouveauté introduite par cet accord, les États membres pourraient appliquer le principe de la conduite accompagnée (généralisée pour le permis B). Les jeunes de 17 ans seraient autorisés à conduire un camion ou un utilitaire léger sur leur seul territoire, dans le cas où ils sont accompagnés d'un conducteur expérimenté. - MF
©Photo Fréor
|
©Photo Fréor
|
|
Les conducteurs des adhérents TLF incités à devenir réservistes de la Garde Nationale
En signant un partenariat avec la Garde Nationale, l'Union TLF s'engage à sensibiliser ses salariés à la possibilité de rejoindre les réservistes de la Garde Nationale, ce qu'ils peuvent faire parallèlement à leurs activités professionnelles.
lire la suite
En signant un partenariat avec la Garde Nationale, l'Union TLF s'engage à sensibiliser ses salariés à la possibilité de rejoindre les réservistes de la Garde Nationale, ce qu'ils peuvent faire parallèlement à leurs activités professionnelles.
Créée en 2016, la Garde Nationale regroupe aujourd'hui 82 000 réservistes opérationnels des forces armées et de sécurité intérieure, dont près de 7 000 sont mobilisés quotidiennement sur le territoire national. Et leur nombre devrait augmenter avec la Loi de programmation militaire 2024-2030 (qui a pour objectif un réserviste pour deux militaires). - MF
|
|
La CFTC Transports a rappelé à Philippe Tabarot qu'elle attend des actes
Après Patrice Vergriete en février 2024, puis François Durovray en septembre 2024, la CFTC a rencontré à son tour Philippe Tabarot, ministre des Transports depuis décembre 2024. Comme avec ses prédécesseurs, la CFTC Transports a rappelé qu'aucun des ...
lire la suite
Après Patrice Vergriete en février 2024, puis François Durovray en septembre 2024, la CFTC a rencontré à son tour Philippe Tabarot, ministre des Transports depuis décembre 2024. Comme avec ses prédécesseurs, la CFTC Transports a rappelé qu'aucun des dossiers de fond du secteur n'avait avancé depuis près de deux ans : salaires, conditions d'accueil, chargement-déchargement...
Rien ne s'est passé, martèle le syndicat, qui en a profité pour rappelé au ministre l'importance de l'engagement de l'Etat dans le financement du CFA, car ce dispositif doit rester un levier d'attractivité pour les métiers du TRM en tension. Cinq ans après le Covid et les promesses faites aux travailleurs de 2e ligne par le président de la République lui-même, la CFTC attend des actes.
De g. à d. : Frank Seyer, SG adjoint FGT CFTC, Guillaume Cadart, Président FGT CFTC, le Ministre, Maxime Dumont, SG FGT CFTC, Laïla Sassa, SG Adjointe FGT CFTC.
|
De g. à d. : Frank Seyer, SG adjoint FGT CFTC, Guillaume Cadart, Président FGT CFTC, le Ministre, Maxime Dumont, SG FGT CFTC, Laïla Sassa, SG Adjointe FGT CFTC.
|
|
Une plateforme au service de la sécurité routière
L'objectif du nouveau site www.enroutepourlaprevention.pro est clair : devenir la référence en matière de santé et de sécurité routière chez les professionnels de la route. Le risque routier est en effet l'une des premières causes de mortalité liées ...
lire la suite
L'objectif du nouveau site www.enroutepourlaprevention.pro est clair : devenir la référence en matière de santé et de sécurité routière chez les professionnels de la route. Le risque routier est en effet l'une des premières causes de mortalité liées au travail en France. Pour aider les entreprises du transport routier de marchandises et du déménagement à mieux protéger leurs salariés, ce nouveau site web offre un accès centralisé aux pratiques et outils essentiels de prévention.
www.enroutepourlaprevention.pro s'adresse aux transporteurs routiers et aux formateurs, leur permettant d'agir concrètement sur plusieurs leviers :
• Structurer une politique de prévention adaptée aux réalités du terrain
• Bénéficier de l'accompagnement de partenaires experts présents sur tout le territoire Sensibiliser les salariés à travers des outils pédagogiques dédiés
• Accéder à une bibliothèque de ressources (guides, diagnostics, supports de formation)
• Se tenir informé des actualités et événements en matière de prévention
Grâce à une cartographie des partenaires spécialisés, sur www.enroutepourlaprevention.pro, les entreprises peuvent notamment identifier les experts selon leurs besoins spécifiques : prévention des conduites addictives, hygiène de vie, ou encore accompagnement en cas d'accident.
Il est le résultat d'une convention de partenariat sur la prévention du risque routier professionnel signée le 4 juillet 2023 par l'Etat, les organisations professionnelles et les organismes professionnels du secteur (dont l'AFT). - MF
|
|
Les ZFE en voie de suppression
Suite à la proposition de loi présentée par Sylvie Bonnet, députée de La Droite Républicaine, soutenue par 50 parlementaires, la commission spéciale de l'Assemblée nationale chargée d'examiner le projet de loi de simplification de la vie économique a...
lire la suite
Suite à la proposition de loi présentée par Sylvie Bonnet, députée de La Droite Républicaine, soutenue par 50 parlementaires, la commission spéciale de l'Assemblée nationale chargée d'examiner le projet de loi de simplification de la vie économique a voté pour la suppression des Zones à Faibles Émissions (instaurées en 2019).
Cette nouvelle réjouit l'association 40 millions d'automobilistes, qui s'oppose depuis 2018 contre cette mesure qu'elle juge injuste et discriminatoire. Cependant, la décision n'est pas encore définitivement actée : les ministres concernés entendent bien revenir à la charge le 8 avril prochain, jour où le projet de loi doit être examiné à l'Assemblée nationale. À suivre. - MF
|
|
Jean-Thomas Schmitt, PDG d'Heppner, remplace Éric Hémar à la présidence de l'Union TLF
Jean-Thomas Schmitt, président-directeur général d'Heppner, a été élu à l'unanimité président de l'Union TLF pour un mandat de 3 ans. Il succède ainsi à Éric Hémar, Président fondateur du groupe ID Logistics, après deux mandats marqués par une croiss...
lire la suite
Jean-Thomas Schmitt, président-directeur général d'Heppner, a été élu à l'unanimité président de l'Union TLF pour un mandat de 3 ans. Il succède ainsi à Éric Hémar, Président fondateur du groupe ID Logistics, après deux mandats marqués par une croissance soutenue de l'Union TLF.
Cette prise de fonction s'inscrit dans la continuité de l'engagement de Jean-Thomas Schmitt au sein de l'Union TLF, où il siégeait déjà au Conseil d'administration et au Comité directeur, ainsi que de son expérience en tant que vice-président du Meti (Mouvement des entreprises de taille intermédiaire) et président du club ETI Grand Est. - MF
|
|
L'OTRE a eu hier un échange constructif avec Philippe Tabarot
Les attentes du secteur n'ayant toujours pas reçu de réponses face à une situation socio-économique toujours plus complexe, l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens a obtenu un entretien avec le ministre des Transports, hier. Elle a consta...
lire la suite
Les attentes du secteur n'ayant toujours pas reçu de réponses face à une situation socio-économique toujours plus complexe, l'Organisation des Transporteurs Routiers Européens a obtenu un entretien avec le ministre des Transports, hier. Elle a constaté que Philippe Tabarot a une bonne connaissance des dossiers.
L'OTRE s'est employée à faire entendre la voix des transporteurs sur les enjeux prioritaires qui conditionnent l'avenir de la profession. Elle a rappelé l'urgence d'une plus juste répartition de la valeur dans le transport routier. Ce qui devrait se traduire par une lutte contre les prix abusivement bas, une garantie de la transparence des prix proposés par les bourses de fret, des revenus décents et fixes assurés aux transporteurs, une limitation des prestations de transport non valorisées (chargement, gestion des palettes, etc.).
L'OTRE a également alerté sur l'urgence de renforcer les contrôles pour faire respecter les règles du paquet mobilité et lutter contre la concurrence déloyale. Pour cela, elle a réitéré sa demande d'impliquer, en appui de l'action des corps de contrôles des Dreal, l'ensemble des autres corps de contrôle routier, et notamment les 7600 gendarmes des Escadrons départementaux de sécurité routières (EDSR) pour lutter contre le cabotage illégal, le non-respect des règles de détachement et plus globalement la concurrence déloyale.
« La mobilisation de notre organisation au service du développement et de la modernisation des infrastructures de transport (routes, autoroutes, bornes de recharge dynamique...) a permis de souligner que leur financement ne peut peser sur les seuls transporteurs routiers. À l'heure de la complémentarité des modes, une partie des dépenses actuelles devrait ainsi être réorientée, sans nouveaux prélèvements ni hausse de la fiscalité pour la filière », souligne enfin l'OTRE.
Elle a rappelé au ministre sa disponibilité pour participer à l'ensemble des travaux engagés par le gouvernement en vue de bâtir une politique durable du transport routier, au service d'une France compétitive. - MF
|
|
|
|
Articles en accès libre |
|
1. Sélectionnez un numéro |
2. Choisissez un article en accès libre |
|
|
|