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Un succès qui se confirme pour Epoqu'Auto
Avec encore cette année près de 110 000 visiteurs attendus, le salon Epoqu'Auto est une fois de plus le rendez-vous des collectionneurs venus de l'Europe entière, tous types de véhicules confondus, jusqu'aux miniatures. La preuve, ce matin à l'ouvert...
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Avec encore cette année près de 110 000 visiteurs attendus, le salon Epoqu'Auto est une fois de plus le rendez-vous des collectionneurs venus de l'Europe entière, tous types de véhicules confondus, jusqu'aux miniatures. La preuve, ce matin à l'ouverture, il fallait plus d'une heure pour accéder au parking sur les huit derniers kilomètres avant Eurexpo, à Lyon. Si vous cherchez les poids lourds anciens, il faut rejoindre le hall 6. - AL
Sur la première photo, on voit Monique Chapelle, de la Fondaion Berliet, devant une reconstitution d'un Relais Routiers ©Lancereau
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Sur la première photo, on voit Monique Chapelle, de la Fondaion Berliet, devant une reconstitution d'un Relais Routiers ©Lancereau
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60 km/h au-dessus de la vitesse autorisée pour un livreur doté d'un permis probatoire
Toujours dans la catégorie des excès, la gendarmerie de Saône et Loire fait part sur sa page FB d'un autre fait divers : sur la N79, la brigade motorisée de Paray-le-Monial a intercepté un Sprinter qui roulait à 140 km/h (vitesse retenue 133 ...
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Toujours dans la catégorie des excès, la gendarmerie de Saône et Loire fait part sur sa page FB d'un autre fait divers : sur la N79, la brigade motorisée de Paray-le-Monial a intercepté un Sprinter qui roulait à 140 km/h (vitesse retenue 133 km/h) pour une vitesse limite autorisée de 80 km/h. Son conducteur, originaire de la Côte d'Or, avait un permis probatoire ! Il se l'est aussitôt vu retirer et le véhicule a été placé en fourrière administrative. - MF
©Photo EDSR 71
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©Photo EDSR 71
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Une surcharge de 32 t pour un grumier interpellé à Autun
Sur sa page FB, la Gendarmerie de Saône-et-Loire annonce qu'une patrouille de la BMO du Creusot a remarqué à Autun un grumier circulant avec les pneus particulièrement affaissés. En contrôlant cet ensemble visiblement en surcharge, ils ont découvert ...
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Sur sa page FB, la Gendarmerie de Saône-et-Loire annonce qu'une patrouille de la BMO du Creusot a remarqué à Autun un grumier circulant avec les pneus particulièrement affaissés. En contrôlant cet ensemble visiblement en surcharge, ils ont découvert qu'il dépassait de 32 t la charge autorisée ! Soit 80 t à la pesée au lieu des 48 maxi autorisées.
La conductrice a eu droit à 32 amendes forfaitaires de 90 euros (une amende par tonne supplémentaire, donc), soit 2 880 euros à payer dans les 15 jours. Et bien sûr, il lui a fallu se remettre en conformité avec la législation en déposant les 32 t de dépassement.
Il semble toutefois que le phénomène des surcharges soit en baisse, car de plus en plus de scieries refusent désormais de payer le surplus qui leur est livré au-delà de la charge autorisée. - MF
©Gendarmerie de Saône-et-Loire
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©Gendarmerie de Saône-et-Loire
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Mercedes recule l'âge minimum de ses PL d'occasion porteurs du label Certified
Certified, le label occasion premium de Mercedes-Benz, a été lancé en 2021. Pour obtenir ce label, chaque camion doit être remis à niveau dans les ateliers de la marque. Pour répondre à la réalité actuelle du marché des camions de seconde main, les c...
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Certified, le label occasion premium de Mercedes-Benz, a été lancé en 2021. Pour obtenir ce label, chaque camion doit être remis à niveau dans les ateliers de la marque. Pour répondre à la réalité actuelle du marché des camions de seconde main, les critères d'âge et de kilométrage exigés pour être révisés et garantis par la marque sont passés de 5 à 6 ans et de 500 000 à 600 000 km.
Les autres critères d'admissibilité ne changent pas : entretien à jour de moins 3 mois (ou 20 et 30 000 km pour les +/- de 12 t), contrôle technique de moins de 3 mois, sculptures de plus de 6 mm pour les pneus. Tout camion obtenant ces critères se voit garanti 12 ou 24 mois en Europe, le client ayant la possibilité d'échanger son camion dans les 3 mois suivant son achat.
En plus du TruckStore Paris à Gonesse (95), filiale de Daimler Truck France, sept autres distributeurs sont habilités à vendre ces produits dans l'hexagone : Rennes, Toulouse, Angers, Frénouville, Villeneuve-Loubet, Ludres et Lyon-Genas. Ces distributeurs peuvent reprendre le camion à remplacer par un VO Certified. - MF
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Les avantages dont bénéficie le B100 maintenus dans le PLF 2026
A la soirée de l'OTRE la semaine dernière, le ministre des Transports Philippe Tabarot s'était dit confiant sur le sort réservé au B100, menacé de se voir retirer son avantage fiscal dans le cadre du projet de loi de finances (PLF) 2026.
Son...
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A la soirée de l'OTRE la semaine dernière, le ministre des Transports Philippe Tabarot s'était dit confiant sur le sort réservé au B100, menacé de se voir retirer son avantage fiscal dans le cadre du projet de loi de finances (PLF) 2026.
Son optimisme semble justifié : la hausse des taxes que cela impliquerait a été déboutée par les députés à l'Assemblée nationale le 3 novembre, les trois quarts des élus votants ayant choisi d'adopter l'amendement proposé par le député MoDem Richard Ramos.
Le PLF qui va être envoyé au Parlement comprend donc un maintien des avantages fiscaux du B100 sans limite de temps. À suivre lors des prochaines étapes... - MF
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Still propose des chariots en location longue durée
Pour faciliter l'accès à ses chariots élévateurs, Still innove en proposant, sur sa boutique en ligne, deux modèles en location longue durée (LLD) : les frontaux électriques RCE 15-20 et le RCE 25-35. Cette solution souple et économique permet aux en...
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Pour faciliter l'accès à ses chariots élévateurs, Still innove en proposant, sur sa boutique en ligne, deux modèles en location longue durée (LLD) : les frontaux électriques RCE 15-20 et le RCE 25-35. Cette solution souple et économique permet aux entreprises de bénéficier d'un matériel toujours opérationnel, sans immobiliser leur trésorerie ni se soucier des coûts d'entretien. - MF
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Le nouveau salon Euromove fait le pari de réunir le TRM, le TRV et le transport sanitaire...
Du 2 au 4 juin 2026, le Parc des Expositions de Rennes accueillera la première édition d'Euromove, qui a l'ambition de devenir un rendez-vous européen de référence. Ce salon professionnel a la spécificité de fédérer les trois filières du transport ro...
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Du 2 au 4 juin 2026, le Parc des Expositions de Rennes accueillera la première édition d'Euromove, qui a l'ambition de devenir un rendez-vous européen de référence. Ce salon professionnel a la spécificité de fédérer les trois filières du transport routier (marchandises, voyageurs et sanitaire) autour d'un objectif commun : partager les innovations, confronter les expériences et accélérer les transitions du secteur.
Ce salon offre ainsi un cadre de dialogue aux entreprises, constructeurs, collectivités, start-ups et équipementiers. Ce qui devrait favoriser les échanges techniques, économiques et humains. Des constructeurs, pneumaticiens, équipementiers et autres prestataires ont confirmé leur participation. La programmation comprend des conférences et des ateliers autour de trois axes : transition énergétique, attractivité des métiers et digitalisation des opérations.
Citons parmi les conférences :
• « Transport et RSE » : comment concilier performance économique, environnementale et sociale dans les entreprises de transport ?
• « Transport sanitaire et territoires » : innovations logistiques et médicales au service des déplacements de santé.
• « L'avenir du transport de voyageurs » : électrification des flottes, confort et accessibilité, nouveaux usages collectifs.
• « Innovation et énergie » : biogaz, hydrogène, électrique, mix énergétique et développement des infrastructures.
• « Pratiques Vul & digitalisation » : obligation de chronotachygraphe et licences communautaires, usage de Mobilic pour le suivi du temps de travail.
En complément, les Ateliers Métiers offriront des formats participatifs de 30 minutes, animés par des duos expert-professionnel, pour transformer les enjeux des métiers en actions opérationnelles.
L'espace « Business Connect » permettra la mise en relation directe entre transporteurs, collectivités, donneurs d'ordres et prestataires. Pensé pour les TPE et PME, ce dispositif vise à simplifier l'accès aux innovations, aux aides publiques, aux dispositifs de financement et à de nouveaux partenaires professionnels. Un espace dédié présentera également les initiatives régionales et nationales du programme France 2030 et des Régions partenaires, avec des rendez-vous personnalisés.
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Le camion électrique Tesla Semi encore retardé
Si on voit un jour le Tesla Semi sur nos routes, il aura traversé bien des obstacles en près de dix ans de développement ! Il est toujours dans sa phase expérimentale, alors qu'en 2017, il était présenté comme une révolution du transport routier, ave...
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Si on voit un jour le Tesla Semi sur nos routes, il aura traversé bien des obstacles en près de dix ans de développement ! Il est toujours dans sa phase expérimentale, alors qu'en 2017, il était présenté comme une révolution du transport routier, avec 800 km d'autonomie. Quelques dizaines d'exemplaires seulement sont finalement sortis de l'usine Tesla du Nevada, dont quelques-uns pour PepsiCo en 2022. Mais pas un seul exemplaire commercial !
Notre confrère mobiwisy.fr souligne que sa phase de pré-production à grande échelle ne commencera finalement pas avant la mi-2026, selon Tesla, qui avait pourtant annoncé son lancement en 2019, puis en 2023, puis en 2024, puis en 2025 ! Et non seulement ce camion électrique est loin de sortir en série, mais son prix aurait plus que doublé par rapport aux estimations initiales (en 2017), qui étaient de 150 000 dollars (129 000 euros) pour la version à 480 km d'autonomie et 180 000 dollars (155 000 euros) pour celle de 800 km. De quoi finir de décourager les transporteurs, déjà confrontés à des marges serrées et à des incertitudes réglementaires. Pendant ce temps, les concurrents captent des parts de marché... - MF
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Le Zetros by Arquus, fruit d'un partenariat franco-allemand
Le Zetros by Arquus est un camion militaire conçu pour les environnements les plus exigeants. Fruit d'un partenariat industriel franco-allemand entre Daimler Truck et Arquus (ex-Renault Trucks Defense), il allie la robustesse du châssis 6x6 du Zetros...
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Le Zetros by Arquus est un camion militaire conçu pour les environnements les plus exigeants. Fruit d'un partenariat industriel franco-allemand entre Daimler Truck et Arquus (ex-Renault Trucks Defense), il allie la robustesse du châssis 6x6 du Zetros Mercedes à l'expertise d'Arquus en matière de militarisation et d'intégration de systèmes. Il dispose d'une charge utile de plus de 6 t. - MF
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Epoqu'auto ouvre ses portes ce vendredi 7 novembre à Lyon, jusqu'à dimanche
Petit rappel : c'est ce vendredi (7 novembre) que s'ouvre le salon Epoqu'auto à Lyon Eurexpo. Jusqu'à dimanche, on pourra y voir 15 utilitaires et camions civils militaires reprendre vie, pour souligner le 80ᵉ anniversaire de la Libération, mai...
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Petit rappel : c'est ce vendredi (7 novembre) que s'ouvre le salon Epoqu'auto à Lyon Eurexpo. Jusqu'à dimanche, on pourra y voir 15 utilitaires et camions civils militaires reprendre vie, pour souligner le 80ᵉ anniversaire de la Libération, mais aussi illustrer la reconstruction et le retour à la vie civile. Ce plateau spectaculaire a été constitué avec le concours du Club PTRA (Patrimoine du transport routier ancien) et du collectionneur-restaurateur Mat ma Rouille (voir 63938).
On pourra aussi découvrir les plateaux « Les marques lyonnaises disparues » et « La Fondation Berliet : les énergies alternatives », qui mettent en évidence la richesse du patrimoine lyonnais et l'audace des innovations d'hier. - MF
Sur le salon lyonnais, on pourra revoir une pièce rare de la collection Berliet (vue au dernier Rétromobile) : un camion à vapeur Purrey de 1909.
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Sur le salon lyonnais, on pourra revoir une pièce rare de la collection Berliet (vue au dernier Rétromobile) : un camion à vapeur Purrey de 1909.
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Anton by Jungheinrich, une entrée de gamme sur le marché des chariots élévateurs
Dédiée à l'entrée de gamme, doté de la technologie lithium-ion, la gamme de matériel de manutention Anton by Jungheinrich a été développée en partenariat avec EP Equipment, spécialiste chinois du chariot lithium-ion. Elle se veut économique, fiable e...
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Dédiée à l'entrée de gamme, doté de la technologie lithium-ion, la gamme de matériel de manutention Anton by Jungheinrich a été développée en partenariat avec EP Equipment, spécialiste chinois du chariot lithium-ion. Elle se veut économique, fiable et facile à prendre en main.
Son lancement débute avec trois modèles : les chariots élévateurs électriques CBH 2.5 et 3.0 (2 500 et 3 000 kg de capacité, vitesse jusqu'à 17 km/h, hauteur de levée jusqu'à 4 800 mm) et le transpalette électrique PTL 1.5 (1 500 kg, 1 550 x 560 x 1 230 mm). Les deux chariots ont une garde au sol élevée et des pneus larges, et le transpalette est ultra-compact. - MF
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Bientôt une station publique BioGNV Altens à Moret-Loing-et-Orvanne (77)
Après l'ouverture début novembre d'une première station BioGNV publique à Guise, dans l'Aisne, une deuxième devrait être mise en service par le français Altens à Moret-Loing-et-Orvanne (77) d'ici fin 2025. Le distributeur d'énergies bas carbone bâtit...
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Après l'ouverture début novembre d'une première station BioGNV publique à Guise, dans l'Aisne, une deuxième devrait être mise en service par le français Altens à Moret-Loing-et-Orvanne (77) d'ici fin 2025. Le distributeur d'énergies bas carbone bâtit un réseau de stations multi-énergies publiques en France. Alimentée en biométhane issu de déchets agricoles locaux, cette nouvelle station sera ouverte 24h/24 et 7j/7 fin 2025, accessibles aux bus, PL et Vul.
Située dans la ZAC des Renardières, la station pourra délivrer jusqu'à 1 000 t de BioGNV par an. Elle alimentera notamment les bus d'Île-de-France Mobilités opérés par Transdev, les bennes à ordures du Smictom (Véolia) et plusieurs transporteurs locaux.
Ce projet s'inscrit dans la dynamique de la charte CapMétha77, qui vise à développer la filière méthanisation et à déployer 30 stations publiques BioGNV sur le territoire d'ici cinq ans. - MF
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Route électrique : la recharge par induction tout en roulant, ça marche
Mené sur l'A10, au sud-ouest de Paris, un système de recharge dynamique par induction a été testé en conditions réelles de circulation sur autoroute par quatre véhicules prototypes (un PL, un Vul, une voiture et un bus). Cette dernière phase de la Ro...
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Mené sur l'A10, au sud-ouest de Paris, un système de recharge dynamique par induction a été testé en conditions réelles de circulation sur autoroute par quatre véhicules prototypes (un PL, un Vul, une voiture et un bus). Cette dernière phase de la Route électrique (Electric Road System ou ERS) conclut près de deux années de tests et d'essais en laboratoire.
Il permet notamment aux poids lourds électriques équipés de récepteurs, de se recharger directement en roulant. L'objectif est de réduire considérablement la taille des batteries (et donc le coût des PL) et d'augmenter d'autant la charge utile.
En amont, la mise en uvre du projet sur route ouverte a nécessité des essais de durabilité mécanique sur site fermé, puis des travaux d'installation de bobines à induction sur 1,5 km de chaussée de l'A10. Aux commandes de ce projet « Chargez en roulant », un consortium piloté par Vinci Autoroutes, en collaboration avec Electreon, Vinci Construction, l'Université Gustave Eiffel et Hutchinson.
« Déployé à grande échelle, le système actuellement expérimenté permettrait de réduire significativement les émissions de CO2 du transport routier de marchandises, que ce soit par rapport à l'utilisation du diesel ou par rapport à des camions électriques se rechargeant sur des bornes », souligne le consortium, qui y voit une chance de réduire la dépendance européenne aux importations de batteries et de matières premières nécessaires à leur fabrication. - MF
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Un livre de la FNTR présente le TRM au large public
Intitulé « Le transport routier de marchandises - Un secteur indispensable à l'économie », un ouvrage vient de paraître pour permettre à tous d'en comprendre les enjeux et l'évolution. Préfacé par Florence Dupasquier, la présidente de la Fédération n...
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Intitulé « Le transport routier de marchandises - Un secteur indispensable à l'économie », un ouvrage vient de paraître pour permettre à tous d'en comprendre les enjeux et l'évolution. Préfacé par Florence Dupasquier, la présidente de la Fédération nationale des transports routiers (FNTR), il est co-publié par Nane Editions, spécialisé dans les ouvrages pédagogiques...
Voici quelques-uns des faits rappelés au grand public : près de 90% des produits que nous consommons chaque jour empruntent la route avant d'arriver jusqu'à nous. Seul le camion peut desservir efficacement les 34 875 communes françaises, y compris les plus isolées. Avec plus de 420 000 salariés, majoritairement dans des PME, le transport routier de marchandises est un acteur incontournable de l'économie française et européenne. Il soutient l'industrie, le commerce et la distribution, et contribue directement à la vie des territoires.
Les principaux défis auxquels le TRM fait face sont rappelés : transition énergétique, adaptation aux technologies numériques et aux innovations, sécurité routière et réglementation du travail, ouverture et harmonisation à l'échelle européenne... Il met également en lumière la diversité des carrières offertes par ce secteur qui recrute massivement : conducteurs, exploitants, logisticiens, techniciens de maintenance, etc. En 56 pages, l'ouvrage se veut pédagogique et accessible. 10 euros. - MF
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Les stations publiques de recharge PL en Europe cartographiées par Renault Trucks
Renault Trucks publie sur son site une carte en libre accès répertoriant les 500 stations publiques de recharge pour poids lourds électriques en Europe, existantes et à venir. Le constructeur espère ainsi permettre aux transporteurs de planifier sere...
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Renault Trucks publie sur son site une carte en libre accès répertoriant les 500 stations publiques de recharge pour poids lourds électriques en Europe, existantes et à venir. Le constructeur espère ainsi permettre aux transporteurs de planifier sereinement les parcours des camions électriques, y compris sur de longues distances.
Au 30 septembre 2025, on dénombrait 191 stations PL opérationnelles à travers l'Europe, 157 stations « compatibles PL » et 135 stations PL à venir. Les principaux axes de transport européens sont couverts : 13 (dont 7 en construction) sur le corridor North Sea - Baltic (Amsterdam - Varsovie - 1200 km) et 13 (dont 3 en cours de déploiement) sur le corridor Rhine-Alpine (Rotterdam - Gênes - 1 240 km). Dans un futur proche, l'arrivée de mégachargeurs rendra la recharge plus rapide.
La carte Renault Trucks des stations de recharge pour poids lourds électriques est disponible ici et va bien sûr être mise à jour au fur et à mesure. En vert foncé, les stations PL opérationnelles, en vert clair celles qui sont compatibles PL, et en bleu les stations PL qui sont planifiées. - MF
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Trois mécanos du réseau Man ont remporté la compétition EuroSkills
Organisés au Danemark en septembre, les WorldSkills Europe rassemblaient des candidats de 32 pays. Dans la catégorie Technologie Véhicules industriels, huit candidats en lice ont disputé une série d'épreuves théoriques et pratiques. Les trois premièr...
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Organisés au Danemark en septembre, les WorldSkills Europe rassemblaient des candidats de 32 pays. Dans la catégorie Technologie Véhicules industriels, huit candidats en lice ont disputé une série d'épreuves théoriques et pratiques. Les trois premières places du podium ont été remportées par des mécanos du réseau Man, un Suisse, un Danois et un Français.
Le Français, Alexis Barrouquére-Theil, qui obtient donc la médaille de bronze, était apprenti chez Man Evry pendant cinq ans, avant son bac pro et son BTS en Maintenance véhicules transport routier. Il avait déjà brillamment décroché la médaille d'or des WorldSkills 2023 pour la France. Depuis, il a intégré une école d'ingénieur lui permettant de continuer sa carrière chez Man France. Depuis 2014, une centaine de jeunes ont bénéficié, comme lui, du partenariat entre l'Aftral et Man France. - MF
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Et bang ! Une nouvelle camionnette de la DIR percutée...
Sur l'A34 entre Reims et Rethel, un poids lourd a percuté un fourgon de la Dir (direction interdépartementale des routes) cet après-midi, heureusement sans blessés à déplorer. Avec leur remorque portant une flèche de rabattement, les agents de la Dir...
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Sur l'A34 entre Reims et Rethel, un poids lourd a percuté un fourgon de la Dir (direction interdépartementale des routes) cet après-midi, heureusement sans blessés à déplorer. Avec leur remorque portant une flèche de rabattement, les agents de la Dir étaient là pour protéger le chantier en cours en aval. Leur fourgon était inoccupée... - MF
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Le déclin des Relais Routiers sur les nationales en France : les causes et les remèdes potentiels
Avec l'interdiction de circulation des camions sur les anciennes nationales et dans les villes, et les nombreux chauffeurs étrangers qui n'ont pas les moyens d'en être clients, les restaurants routiers ont vu leur nombre divisé par 10 depuis les anné...
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Avec l'interdiction de circulation des camions sur les anciennes nationales et dans les villes, et les nombreux chauffeurs étrangers qui n'ont pas les moyens d'en être clients, les restaurants routiers ont vu leur nombre divisé par 10 depuis les années 1960.
L'émission Une semaine en France de vendredi dernier a évoqué ce sujet sur France Inter avec plusieurs invités, dont Guillaume Blot, photographe (l'auteur du livre Restos Routiers - voir 63409), Corina Caldaras, patronne d'un resto routier dans la Nièvre et Laurent de Saulieu, directeur de publication du journal Les Routiers. à écouter en cliquant ici. - MF
Il est loin le temps où les Relais Routiers étaient quelques milliers à accueillir les conducteurs de poids lourds sur les nationales (©Thierry Dubois)
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Il est loin le temps où les Relais Routiers étaient quelques milliers à accueillir les conducteurs de poids lourds sur les nationales (©Thierry Dubois)
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Les anciens de chez Aubry continuent de se retrouver
Il y a 25 ans, un petit groupe de retraités de l'entreprise Aubry avait eu l'idée de se retrouver autour d'un repas pour garder les liens tissés durant leurs années de travail. Ils étaient 10 à répondre présents. Fin octobre, 22 ans après la fermetur...
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Il y a 25 ans, un petit groupe de retraités de l'entreprise Aubry avait eu l'idée de se retrouver autour d'un repas pour garder les liens tissés durant leurs années de travail. Ils étaient 10 à répondre présents. Fin octobre, 22 ans après la fermeture des Transports Aubry, ils étaient 88 à partager le repas au Diap, à Cuisery, et de se rappeler les bons moments partagés, rapporte notre confrère le Journal de Saône-et-Loire.
Quels que soient leurs postes, ils ont tous côtoyé, de près comme de loin, les camions bleus de leur entreprise. Les Transports Aubry, basés à Chalon-sur-Saône, ont compté du temps de leur splendeur jusqu'à 1 000 véhicules et 1 500 salariés, avant de mettre la clé sous la porte à l'aube des années 2000. - MF
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Philippe Tabarot promet une loi-cadre pour le transport
Invité de la soirée de l'OTRE aux côtés de quatre de ses prédécesseurs (voir 64005), le ministre des Transports Philippe Tabarot a réaffirmé son engagement à mener une loi-cadre ...
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Invité de la soirée de l'OTRE aux côtés de quatre de ses prédécesseurs (voir 64005), le ministre des Transports Philippe Tabarot a réaffirmé son engagement à mener une loi-cadre pour le transport, dont l'objectif principal serait de mieux flécher les ressources tirées du secteur du transport routier pour les réinvestir dans celui-ci.
De son côté, l'OTRE est plutôt partisane d'une véritable Loi de programmation, c'est-à-dire une loi qui planifie les objectifs et les financements. « Une loi cadre ou loi d'orientation fixe les principes généraux sans entrer dans les détails... C'est malgré tout un premier pas », reconnaît Jean-Marc Rivéra, délégué général de l'OTRE.
Quoi qu'il en soit, cette loi cadre ne doit pas se limiter à la question des infrastructures et leur financement, selon la fédération de transporteurs. « Nous attendons un volet transport plus large notamment pour répondre aux attentes fortes de la profession qui nécessitent une évolution législative du code des transports : prix abusivement bas, gestion des palettes, temps d'attente chez le client, clause tunnel (qui empêche de récupérer l'intégralité de la variation du prix du gazole), chargement-déchargement ».
Alexis Gibergues aimerait aussi y voir figurer l'instauration d'une contribution économique et écologique directement aux donneurs d'ordre. Ou l'interdiction de la mention « livraison gratuite » sur les sites de vente, qui donne à penser que cette prestation ne vaut rien. - MF
Dans le cadre d'une loi transport, Alexis Gibergues aimerait aussi voir figurer l'instauration d'une contribution économique et écologique directement aux donneurs d'ordre (©Fréor)
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Dans le cadre d'une loi transport, Alexis Gibergues aimerait aussi voir figurer l'instauration d'une contribution économique et écologique directement aux donneurs d'ordre (©Fréor)
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